
Cette suspension de fonction survient suite à l'ouverture d'une enquête préliminaire ayant mis en lumière des raisons suffisamment sérieuses pour engager une enquête sur son comportement.
Cette décision, révélée mardi, résulte de trois requêtes sollicitant sa destitution. Conformément à la Constitution du Ghana de 1992, Gertrude Torkornoo a été consultée par le Conseil d'État.Même si les détails des accusations demeurent secrets, ils ont provoqué une importante discussion sur la responsabilité des magistrats dans la nation.
Une équipe de cinq personnes a été constituée dans le but de continuer l'investigation. Ce groupe est constitué d'experts juridiques, d'enseignants et d'anciens fonctionnaires.La présidente de la Cour suprême demeurera en suspension jusqu'à ce que l'enquête du comité soit achevée, ce qui pourrait avoir un impact significatif sur le système judiciaire du Ghana.
Gertrude Torkornoo, la troisième femme à occuper le poste de juge en chef du pays, a exercé ses fonctions depuis juin 2023.
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