
Tu t'imagines, l'ambassade du Mali aux États-Unis, c'est un peu comme un mini-Mali là-bas. Eh bien, figure-toi que ça chauffe ! Les employés, ceux qui bossent sur place, ont décidé de faire grève pendant 48 heures, à partir du 24 février. La raison ? Ils en ont marre des abus de pouvoir, des intimidations et du harcèlement qu'ils subissent.
Ambiance pourrie au boulot : ça suffit !
Depuis des années, c'est la galère pour ces employés. Ils se sentent sous pression constante, avec des avertissements et des punitions injustes. Imagine, ils disent qu'ils sont harcelés, qu'on les menace de les virer à tout bout de champ ! Treize d'entre eux ont même signé une lettre pour dire que ça suffit.
Un licenciement qui fait des vagues
Le truc qui a mis le feu aux poudres, c'est le licenciement d'une de leurs collègues, Haby Diallo. Ils trouvent ça complètement injuste et illégal. Ils disent que les règles n'ont pas été respectées, et que la lettre de licenciement ne dit même pas pourquoi elle est virée. Ils exigent son retour immédiat.
Même en vacances, on les lâche pas !
Un autre employé, Soumaila Coulibaly, a reçu un avertissement alors qu'il était en congé. Les autres trouvent ça inadmissible, une vraie violation de ses droits.
Un plan pour virer les anciens ?
Les employés pensent que tout ça, c'est pas un hasard. Ils ont l'impression qu'on veut se débarrasser des employés qui sont là depuis longtemps, qu'on les pousse à démissionner. Du coup, beaucoup sont partis ces dernières années.
Ils vont pas se laisser faire !
Si personne ne les écoute, ils sont prêts à aller plus loin, même à demander l'aide des autorités américaines. Ce qu'ils veulent, c'est que les abus et le harcèlement s'arrêtent, et qu'ils aient enfin des conditions de travail normales.
En gros, c'est un peu comme si tes profs ou tes parents abusaient de leur pouvoir, et que tu décidais de dire stop !
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