Le ministre béninois Olushegun Bakari a déclaré à la presse que « trois thèmes majeurs » ont été traités lors de cette rencontre : « les enjeux culturels, du fait de nos attaches historiques avec cette partie du monde », « les enjeux économiques » et « les enjeux de sécurité et de paix ».
Concernant ce sujet, le ministre béninois a précisé que « des négociations sont actuellement en cours » afin de « déployer des troupes pour soutenir et renforcer la sécurité au sein de la République sœur d’Haïti », qui est sévèrement touchée par les violences liées aux gangs et l’instabilité politique.0
« Haïti a une signification symbolique pour tous les Noirs du monde, étant la première République noire de l'histoire. Ainsi, si Haïti s'effondre, cela signifie que nous, en tant que peuple noir, nous effondrons également », a déclaré le responsable des affaires étrangères de cette petite nation d'Afrique de l'Ouest.
« Le ministre a précisé : « Nous avons eu des échanges très soutenus sur comment fortifier nos relations économiques à travers des investissements mutuels, que ce soit dans les secteurs du tourisme, de la valorisation agricole, de l'industrialisation ou de la connectivité ».
Le communiqué final précise que les ministres, « se rendant compte de l'importance d'avoir une voix cohérente au niveau international (...) ont décidé de harmoniser leurs points de vue dans les instances multilatérales, en particulier à l'ONU ».
« Le ministre a précisé : « Nous avons eu des échanges très soutenus sur comment fortifier nos relations économiques à travers des investissements mutuels, que ce soit dans les secteurs du tourisme, de la valorisation agricole, de l'industrialisation ou de la connectivité ».
Le communiqué final précise que les ministres, « se rendant compte de l'importance d'avoir une voix cohérente au niveau international (...) ont décidé de harmoniser leurs points de vue dans les instances multilatérales, en particulier à l'ONU ».
Ils envisagent également de favoriser « la collaboration Sud-Sud ».
« Dans un contexte culturel, les ministres ont décidé de promouvoir le tourisme mémoriel qui permettra aux citoyens des pays membres de la Caricom d'explorer les lieux historiques du Bénin associés à la traite transatlantique des esclaves », a encore précisé le communiqué.
Depuis 2016, le président béninois Patrice Talon, au pouvoir, met l'accent sur le tourisme mémoriel comme un point central de sa politique.
D'après M. Bakari, l'objectif est de « donner l'opportunité aux touristes des Caraïbes de découvrir le Bénin dans ce contexte mémoriel, tout en offrant la possibilité aux Béninois de se rendre dans les Caraïbes ». Sur les 15 ministres des affaires étrangères de la Caricom, huit étaient en présence (Haïti, République dominicaine, Bahamas, Grenade, Suriname, Jamaïque, Barbade et Antigua-et-Barbuda).
« Dans un contexte culturel, les ministres ont décidé de promouvoir le tourisme mémoriel qui permettra aux citoyens des pays membres de la Caricom d'explorer les lieux historiques du Bénin associés à la traite transatlantique des esclaves », a encore précisé le communiqué.
Depuis 2016, le président béninois Patrice Talon, au pouvoir, met l'accent sur le tourisme mémoriel comme un point central de sa politique.
D'après M. Bakari, l'objectif est de « donner l'opportunité aux touristes des Caraïbes de découvrir le Bénin dans ce contexte mémoriel, tout en offrant la possibilité aux Béninois de se rendre dans les Caraïbes ». Sur les 15 ministres des affaires étrangères de la Caricom, huit étaient en présence (Haïti, République dominicaine, Bahamas, Grenade, Suriname, Jamaïque, Barbade et Antigua-et-Barbuda).
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article