
Le Premier ministre du gouvernement d'unité nationale, Abdul Hamid Dbeibah, a condamné l'assassinat d'Al-Rayani, notant qu'il « est monté au martyre aujourd'hui en défendant le caractère sacré de sa maison et de sa famille contre un groupe criminel traître ».
Dbeibah a expliqué qu'il avait demandé au parquet militaire « d'ouvrir une enquête urgente et complète pour découvrir les circonstances de ce crime odieux, déterminer qui en était responsable et le but qui se cachait derrière ».
Les médias libyens ont rapporté que trois hommes armés non identifiés ont pris d'assaut le domicile d'Al-Rayani, provoquant un échange de coups de feu qui a entraîné sa mort.
Affrontements armés
Cette situation se produit alors qu'à Tripoli, la capitale, et Zawiya, des heurts armés ont recommencé au cours des dernières 24 heures entre le groupe « Al-Madah » et une autre faction liée à ce qui est appelé les « Kabwat », d'après le site web « Libi Scene ».
Selon ce qui a été rapporté sur le site web, les conflits entre les deux factions dans la zone d'Al-Rukina ont inclus des coups tirés à l'aveuglette, provoquant ainsi un état de panique chez les résidents.
Le site web a observé que malgré les efforts d'intervention des médiateurs locaux pour pacifier le différend entre les deux factions, l'escalade militaire continue de part et d'autre, laissant présager des combats potentiels à tout instant.Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye est plongée dans une crise politique, marquée par une prolifération d'armes sans précédent.
On évalue qu'il existe plus de 29 millions d'armes non régulées par l'État, dans une nation qui ne renferme que 7 millions de résidents.
Le pays est administré par deux gouvernements : un à Tripoli, sous la direction de Dbeibah, et l'autre dans l'est du pays, loyal au camp du chef des forces libyennes de l'est, Khalifa Haftar.
Adel Jumaa, le ministre d'État en charge des affaires du Premier ministre, a échappé à une tentative de meurtre le 12 février.
Selon ce qui a été rapporté sur le site web, les conflits entre les deux factions dans la zone d'Al-Rukina ont inclus des coups tirés à l'aveuglette, provoquant ainsi un état de panique chez les résidents.
Le site web a observé que malgré les efforts d'intervention des médiateurs locaux pour pacifier le différend entre les deux factions, l'escalade militaire continue de part et d'autre, laissant présager des combats potentiels à tout instant.Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye est plongée dans une crise politique, marquée par une prolifération d'armes sans précédent.
On évalue qu'il existe plus de 29 millions d'armes non régulées par l'État, dans une nation qui ne renferme que 7 millions de résidents.
Le pays est administré par deux gouvernements : un à Tripoli, sous la direction de Dbeibah, et l'autre dans l'est du pays, loyal au camp du chef des forces libyennes de l'est, Khalifa Haftar.
Adel Jumaa, le ministre d'État en charge des affaires du Premier ministre, a échappé à une tentative de meurtre le 12 février.
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