Effectivement, dans les récentes analyses, le Fonds monétaire international (FMI) met en lumière une dynamique sans précédent : neuf pays africains se classent parmi les vingt économies connaissant la plus grande croissance au niveau mondial.
Ce groupe d'économies prometteuses est composé du Sud-Soudan, de la Libye, du Sénégal, du Soudan, de l'Ouganda, du Niger, de la Zambie, du Bénin et du Rwanda.
Leur réussite est due à une stratégie économique diversifiée, qui s'écarte parfois du modèle conventionnel basé sur la dépendance aux matières premières.
Cette mutation structurelle se distingue nettement de la situation des grands acteurs économiques traditionnels du continent tels que le Nigeria, l'Angola ou l'Afrique du Sud, qui ont du mal à conserver leur vitalité en raison de leur forte dépendance aux ressources naturelles.
L'explication de la réussite de ces neuf nations réside également dans des décisions politiques audacieuses et une perspective à long terme du développement économique.
Cette mutation structurelle se distingue nettement de la situation des grands acteurs économiques traditionnels du continent tels que le Nigeria, l'Angola ou l'Afrique du Sud, qui ont du mal à conserver leur vitalité en raison de leur forte dépendance aux ressources naturelles.
L'explication de la réussite de ces neuf nations réside également dans des décisions politiques audacieuses et une perspective à long terme du développement économique.
L'attention portée à la diversification des domaines d'activité, en particulier dans l'agriculture moderne, la production manufacturière et les services technologiques, a conduit à des taux de croissance excédant 6% pour certains secteurs.
Le Rwanda illustre de manière tangible cette évolution, ayant misé sur une gouvernance stricte associée à une numérisation rapide de son économie.
En ce qui concerne la Tanzanie et la Côte d'Ivoire, elles ont privilégié le renforcement de leurs infrastructures et la mise à jour de leur secteur agricole, ce qui a conduit à la création d'écosystèmes économiques plus robustes.
Le Rwanda illustre de manière tangible cette évolution, ayant misé sur une gouvernance stricte associée à une numérisation rapide de son économie.
En ce qui concerne la Tanzanie et la Côte d'Ivoire, elles ont privilégié le renforcement de leurs infrastructures et la mise à jour de leur secteur agricole, ce qui a conduit à la création d'écosystèmes économiques plus robustes.
Ce nouveau contexte économique s'associe à des investissements colossaux dans le capital humain, en particulier grâce à de vastes initiatives en matière d'éducation et de formation professionnelle.
Les autorités de ces nations ont saisi que la pérennité de leur expansion repose sur leur aptitude à former une force de travail compétente, apte à favoriser la diversification économique.
Les autorités de ces nations ont saisi que la pérennité de leur expansion repose sur leur aptitude à former une force de travail compétente, apte à favoriser la diversification économique.
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