Depuis le mercredi 12 février 2025, le mouvement armé M23, qui reçoit du soutien des troupes rwandaises, a continué d'avancer dans la province du Sud-Kivu après une brève pause due à une offensive éclair. Cette dernière a permis à ses membres et leurs complices de s'emparer de la ville de Goma, qui se situe dans la province du Nord-Kivu, lors de la fin du mois de janvier 2025.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), jusqu'au 2 février 2025, 1348 cas de mpox ont été confirmés par les laboratoires en RDC cette année, sans signaler pour le moment aucun décès.
D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), jusqu'au 2 février 2025, les laboratoires en République Démocratique du Congo (RDC) ont attesté 1348 cas de mpox cette année, sans pour autant signaler de décès à ce jour.
« Le pays le plus affecté par le mpox est la RDC », a déclaré Christian Lindmeier, porte-parole de l'OMS, lors d'une conférence de presse.
Il a mis en exergue que le Kivu était le foyer principal d'une épidémie de la variante létale 1b du mpox. Cette variante, qui a été identifiée à travers le monde au cours des derniers mois, a fait son apparition pour la première fois dans le Sud-Kivu en 2023.
Selon Lindmeier, l'intervention face à l'épidémie de mpox a été considérablement perturbée par les affrontements entre le M23 et les forces armées congolaises, notamment à Goma et aux alentours.
Plusieurs institutions de santé ont dû fermer leurs portes, tandis que d'autres ont subi des pillages.
D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), jusqu'au 2 février 2025, les laboratoires en République Démocratique du Congo (RDC) ont attesté 1348 cas de mpox cette année, sans pour autant signaler de décès à ce jour.
« Le pays le plus affecté par le mpox est la RDC », a déclaré Christian Lindmeier, porte-parole de l'OMS, lors d'une conférence de presse.
Il a mis en exergue que le Kivu était le foyer principal d'une épidémie de la variante létale 1b du mpox. Cette variante, qui a été identifiée à travers le monde au cours des derniers mois, a fait son apparition pour la première fois dans le Sud-Kivu en 2023.
Selon Lindmeier, l'intervention face à l'épidémie de mpox a été considérablement perturbée par les affrontements entre le M23 et les forces armées congolaises, notamment à Goma et aux alentours.
Plusieurs institutions de santé ont dû fermer leurs portes, tandis que d'autres ont subi des pillages.
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