La fuite sur les réseaux sociaux de vidéos compromettantes aurait été orchestrée par le responsable de la sécurité présidentielle, dont l’épouse figure parmi les nombreuses partenaires de « Bello ».
Parmi les femmes impliquées, on compterait également la femme du procureur général, la fille du directeur général de la police, ainsi que les épouses de plusieurs ministres et même d’un de ses oncles.
Face à cette situation, le parquet a ouvert une enquête pour déterminer si Baltasar Ebang Engonga n’aurait pas délibérément propagé une maladie sexuellement transmissible auprès de toutes ces femmes. Une action visant à évaluer l’impact sanitaire potentiel de cette affaire à l’échelle nationale.
Avec près de 400 femmes
potentiellement concernées, c’est toute l’interconnexion du pays qui est menacée. Les autorités doivent agir rapidement pour protéger la population », a déclaré une source proche du dossier.
Le directeur général de l’ANIF, qui occupe un poste stratégique au sein du gouvernement, risque désormais de lourdes sanctions s’il s’avère qu’il a sciemment mis en danger la santé publique.
Ce scandale retentissant secoue les plus hautes sphères du pouvoir en Guinée Équatoriale et pourrait avoir de graves répercussions au sein de la société. Les enquêtes en cours devront faire toute la lumière sur cette affaire aux ramifications multiples.
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