Un adolescent qui a mis enceinte son enseignante alors qu’il avait 13 ans et qu’elle en avait 28 insiste sur le fait qu’il a été l’instigateur de la relation.
Les faits se sont déroulés dans le New Jersey, aux États-Unis.
Le garçon, dont le Daily Mail ne révèle pas le nom, a déclaré dans une interview exclusive qu’il ne voulait pas que Laura Caron, 34 ans, soit jugée et qu’il la soutenait.
L’enseignante attend son procès et risque jusqu’à 10 ans de prison pour avoir ab.usé du garçon , qui avait emménagé chez elle dès l’âge de 11 ans.
Mais le jeune homme, qui a maintenant 19 ans , refuse de se considérer comme une victime. Il affirme aimer Caron de tout son cœur et espère qu’ils pourront fonder une famille. De leur côté, les procureurs estiment qu’elle a ciblé l’adolescent et l’a soumis à des années de grooming avant d’avoir prétendument eu son enfant en 2019.
Il a été établi que le couple avait gardé la relation secrète et que Caron aurait affirmé à des amis, lors d’une baby shower, que le père était introuvable.
La vérité n’a éclaté que plusieurs années plus tard, lorsque le père du garçon a vu une photo de la fille de Caron, alors enfant, et a remarqué une ressemblance troublante avec son fils.
Aujourd’hui, si Caron est reconnue coupable, elle risque jusqu’à dix ans de prison pour agression s€xuelle aggravée, une affaire qui a choqué l’école et la communauté locale.
Dans une interview avec le Daily Mail , le garçon a déclaré qu’elle ne devrait pas être emprisonnée et a insisté sur le fait qu’il n’avait pas été abusé par Caron.
« Ils doivent abandonner toutes les charges. Je n’ai pas été vi0lé ni manipulé par elle. Elle n’a jamais rien initié », a-t-il déclaré au Daily Mail.
« J’ai tout commencé. Si cela ne tenait qu’à moi, elle ne serait pas en prison. Cela fait six ou sept ans. J’ai 19 ans, bientôt 20».
L’adolescent a rejeté toute suggestion selon laquelle les abus auraient commencé dès ses 11 ans qualifiant ces allégations de « folles ».
Laura Caron a refusé de commenter ces accusations lors de sa sortie d’une audience de mise en liberté sous caution à Cape May, dans le New Jersey , le 21 janvier. Elle devra revenir au tribunal le 25 février pour une nouvelle audience.
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