La télévision nationale a diffusé des images du missile Etemad (qui signifie « Confiance » en persan), doté d'une portée maximale de 1 700 kilomètres, et présenté comme étant « le plus récent missile balistique » produit par le ministère iranien de la Défense.
Les nations occidentales expriment leur préoccupation face aux progrès du programme de missiles de l'Iran, qu'elles accusent de troubler l'équilibre au Moyen-Orient. La capacité technique des missiles qui en résulte met Israël, considéré comme son adversaire déclaré, dans la ligne de mire.
« Le progrès des compétences de défense et des technologies spatiales (...) a pour objectif de s'assurer qu'aucune nation ne se permette d'attaquer le territoire iranien », a affirmé dimanche à la télévision M. Pezeshkian
La cérémonie s'est déroulée à l'occasion de la Journée nationale de l'aérospatiale, et a eu lieu quelques jours avant les célébrations en Iran du 46e anniversaire de la République islamique, le 10 février 1979.
Depuis le réinvestissement du président américain Donald Trump à la Maison Blanche le 20 janvier, l'Iran intensifie ses démonstrations de puissance, en menant des manœuvres militaires d'ampleur et en dévoilant de nouveaux matériels ainsi que des installations militaires souterraines, réputées invincibles.
Depuis le réinvestissement du président américain Donald Trump à la Maison Blanche le 20 janvier, l'Iran intensifie ses démonstrations de puissance, en menant des manœuvres militaires d'ampleur et en dévoilant de nouveaux matériels ainsi que des installations militaires souterraines, réputées invincibles.
Donc, samedi, l'Iran a présenté un missile de croisière nommé Ghadr-380, prétendument capable d'atteindre 1.000 kilomètres et équipé de fonctionnalités antibrouillage.
Parallèlement, Téhéran envoie de nombreux signaux aux pays occidentaux, en particulier aux États-Unis, dans le but d'initier des discussions au sujet de son programme nucléaire, qui est une source de tensions depuis plusieurs dizaines d'années.
L'Iran, qui bénéficiait autrefois d'une large dépendance à l'armement américain, a dû développer ses propres armes suite à la rupture de ses relations diplomatiques avec Washington après la Révolution islamique de 1979 et l'imposition de sanctions par les États-Unis.
Pendant une guerre dévastatrice contre l'Irak (1980-1988), alors que l'Iran était largement dépourvu de munitions, il a désormais à sa disposition un vaste arsenal développé localement, qui va des systèmes de défense aérienne aux missiles en passant par les drones.
Parallèlement, Téhéran envoie de nombreux signaux aux pays occidentaux, en particulier aux États-Unis, dans le but d'initier des discussions au sujet de son programme nucléaire, qui est une source de tensions depuis plusieurs dizaines d'années.
L'Iran, qui bénéficiait autrefois d'une large dépendance à l'armement américain, a dû développer ses propres armes suite à la rupture de ses relations diplomatiques avec Washington après la Révolution islamique de 1979 et l'imposition de sanctions par les États-Unis.
Pendant une guerre dévastatrice contre l'Irak (1980-1988), alors que l'Iran était largement dépourvu de munitions, il a désormais à sa disposition un vaste arsenal développé localement, qui va des systèmes de défense aérienne aux missiles en passant par les drones.
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