![Single Post](https://www.ivoirematin.com/content/news/images/02-2025/thumbs/612x298_20718293c35e5a472e87dfa6553769d32602464e.jpg)
« Cette législation autorisera le gouvernement sud-africain à confisquer les terres agricoles des Afrikaners, minorité ethnique, sans indemnisation », a dénoncé M. Trump dans une directive ordonnant l'arrêt de tout financement tant que le gouvernement sud-africain poursuit « ses actes inéquitables et immorales ».
Il a aussi mentionné l'accusation de génocide que l'Afrique du Sud a formulée contre Israël en raison de son conflit dans la bande de Gaza, ainsi que le resserrement des liens entre Pretoria et l'Iran.
« Il ne saurait être question pour les États-Unis d'apporter leur soutien au gouvernement sud-africain s'il enfreint les droits de l'homme sur son territoire ou s'il compromet la politique extérieure américaine », a-t-il formulé.
M. Trump s'engage également, dans le décret, à fournir une aide pour la « réinstallation » des personnes qu'il considère comme ayant été « victimes d'une discrimination raciale injuste ».
Elon Musk, l'homme d'affaires milliardaire né dans cette nation d'Afrique australe et désormais allié de Donald Trump, a dénoncé sur sa plateforme X les « lois sur la propriété ouvertement racistes » de son pays natal.
M. Trump s'engage également, dans le décret, à fournir une aide pour la « réinstallation » des personnes qu'il considère comme ayant été « victimes d'une discrimination raciale injuste ».
Elon Musk, l'homme d'affaires milliardaire né dans cette nation d'Afrique australe et désormais allié de Donald Trump, a dénoncé sur sa plateforme X les « lois sur la propriété ouvertement racistes » de son pays natal.
Le sujet de la propriété foncière, un thème controversé en Afrique du Sud.
La plupart des terres sont possédées par la minorité blanche du pays, un héritage de la politique d'expropriation vis-à-vis de la population noire durant l'apartheid et la colonisation.
Lors de son discours annuel sur l'État de la nation, le 6 février, le président sud-africain Cyril Ramaphosa a affirmé que son pays « ne se laissera pas intimider ».
Dès sa prise de fonction le 20 janvier, le président des États-Unis avait décrété la suspension de l'aide américaine à l'étranger pour une période de 90 jours, dans le cadre d'une révision intégrale. Toutefois, son attention se porte directement sur l'Afrique du Sud, en mettant un frein à toute aide future et en excluant la perspective d'une dérogation.
La plupart des terres sont possédées par la minorité blanche du pays, un héritage de la politique d'expropriation vis-à-vis de la population noire durant l'apartheid et la colonisation.
Lors de son discours annuel sur l'État de la nation, le 6 février, le président sud-africain Cyril Ramaphosa a affirmé que son pays « ne se laissera pas intimider ».
Dès sa prise de fonction le 20 janvier, le président des États-Unis avait décrété la suspension de l'aide américaine à l'étranger pour une période de 90 jours, dans le cadre d'une révision intégrale. Toutefois, son attention se porte directement sur l'Afrique du Sud, en mettant un frein à toute aide future et en excluant la perspective d'une dérogation.
Marco Rubio, le secrétaire d'État américain, avait précédemment annoncé qu'il ne participerait pas à la réunion du G20 qui se tiendra en Afrique du Sud les 20 et 21 février, reprochant à ce pays son « anti-américanisme » et ses « très mauvaises actions ».
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article