La cause première de cette crise, c’est le changement
climatique.
L’eau vient des nuages, qui viennent du couvert aquatique et
végétal. Nos forêts sont parties de 19 millions d’hectares à 1,7 millions en
2020.
On assiste aujourd’hui à une pluviométrie erratique,
calorique et brutale, notamment dans les zones sud avec des inondations
monstres et moins de pluie au nord. Par
Ailleurs, les grosses quantités d’eau qui se précipite
durant la saison des pluies, sèche rapidement du fait de la hausse des
températures. Du coup, les bassins hydraulique n’arrive plus à garder leur
plein dans la période de soudure ore-pluie.
Le barrage d’Ayamé est à actuellement asséché.
Ce diagnostic ne doit souffrir d’aucun mensonge ni
communication politique qui amène nos gouvernants à toujours chercher des bouc-émissaires.
Car notre énergie est propre, écologique et dépend essentiellement du flux
fluvial.
Pour solution, l’état ivoirien est en train de se lancer
dans une erreur historique. Déjà avec la centrale thermique d’Azito, on avait
fait une erreur écologique en nous détournant de l’énergie propre. Aujourd’hui,
c’est encore vers cette solution rapide mais dangereuse que l’état est en train
de se tourner car des hommes d’affaire peuvent s’y faire du sou rapidement.
Pendant ce temps, l’abysse écologique demeurera et enfoncera davantage le pays.
Une solution durable:
Nous devons avoir le courage de l’avenir de nos enfants,
réfléchir et trouver une solution durable qui réhabilite la nature, résout le
problème d’eau, d’électricité mais aussi de la biodiversité. Si on s’y engage
aujourd’hui, dans 30 ans, on aura des enfants heureux et un pays où il fait bon
vivre. Cette solution, c’est « La renaissance écologique ». Et pour le faire il
faut que le gouvernement développe une conscience écologique au lieu d’une
conscience mercantile!
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