En effet, cette sortie fait suite à une mise en demeure du district autonome d’Abidjan en date du 25 octobre 2024, leur intimant l’ordre de libérer sans délai les parcs à bétail qu’ils occupent et de rejoindre l’unique marché à bétail de la ville d’Abidjan, situé dans la commune d’Anyama et aménagé à cet effet.
« Le Chef de l’Etat, à travers le ministère des Ressources animales et halieutiques, nous a promis un abattoir ultramoderne », a souligné Konaté Mamourou, l’un des conférenciers. Puis d'ajouter : « Aujourd’hui, nous ne pouvons pas partir sans mesures d’accompagnement, car nous devons transporter les moutons et les bœufs. Nous voulons également que le site soit aménagé de sorte que les animaux soient dans de bonnes conditions ».
A en croire Konaté Mamourou, les commerçants de bétail ne refusent pas de partir, mais ils souhaitent la clémence et l’indulgence du Chef de l’Etat et du gouvernement en vue de les épauler dans cette démarche.
Lui emboîtant le pas, le président de la Fédération des commerçants de bétail de Côte d’Ivoire, Samaké Mohamed, demande également la magnanimité du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. « Nous demandons au Chef de l’Etat de nous aider. Nous ne voulons pas de désordre mais plutôt la paix afin d’exercer sereinement nos différentes activités », a-t-il lancé, remerciant d’avance le Président de la République qui a toujours une oreille attentive aux préoccupations des populations.
Même son de cloche pour le président du marché, Ould Ely Cheick, qui a indiqué que les commerçants de bétail ne peuvent pas s’opposer à une décision gouvernementale. « Quelle que soit la situation, nous demeurons dans la politique du Chef de l’Etat pour la bonne marche du pays. Nous sommes certes de petits artisans, mais nous participons à l’essor de l’économie de la Côte d’Ivoire », fait-il savoir. Avant de souligner qu’il n’y a aucun bras de fer entre les commerçants de bétail et les autorités.
« Nous ne pouvons pas nous opposer à un Etat, cela n’est pas possible. Mais nous souhaitons que l'on nous mette dans de meilleures conditions de travail », a insisté Ould Ely Cheick.
Même son de cloche pour le président du marché, Ould Ely Cheick, qui a indiqué que les commerçants de bétail ne peuvent pas s’opposer à une décision gouvernementale. « Quelle que soit la situation, nous demeurons dans la politique du Chef de l’Etat pour la bonne marche du pays. Nous sommes certes de petits artisans, mais nous participons à l’essor de l’économie de la Côte d’Ivoire », fait-il savoir. Avant de souligner qu’il n’y a aucun bras de fer entre les commerçants de bétail et les autorités.
« Nous ne pouvons pas nous opposer à un Etat, cela n’est pas possible. Mais nous souhaitons que l'on nous mette dans de meilleures conditions de travail », a insisté Ould Ely Cheick.
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