La matinée s'est transformée en désordre peu après 9 heures. Au cours de la classe, des jets de pierres ont provoqué la panique, incitant les élèves à s'échapper des salles.
Le proviseur, Coulibaly Kiwèyo, ainsi que son équipe ont essayé de résoudre la situation en vain.
Après avoir été alertées, les autorités sont intervenues rapidement. La sécurité des lieux a été assurée par le commandant de brigade et ses hommes qui ont essayé de raisonner les élèves.
Une réunion spontanée autour du mât a donné l'occasion de discuter avec les manifestants.
Les élèves ont refusé de revenir en classe malgré les assurances de sécurité et les appels au calme, et se sont dirigés vers un collège privé voisin, perturbant ainsi les cours en cours.
Cette manifestation est motivée par un préavis de grève déposé par la FEFR-CI le 10 septembre.
Ce syndicat exige que les enseignants ne rendent pas les copies d'évaluations et demande des améliorations de leurs conditions de travail, y compris des primes mensuelles.
Un mouvement de grève avait déjà été observé par les enseignants les 17, 18 et 19 octobre pour défendre leurs revendications. Aujourd'hui également, on a observé des arrêts de travail dans plusieurs écoles.
Cette manifestation est motivée par un préavis de grève déposé par la FEFR-CI le 10 septembre.
Ce syndicat exige que les enseignants ne rendent pas les copies d'évaluations et demande des améliorations de leurs conditions de travail, y compris des primes mensuelles.
Un mouvement de grève avait déjà été observé par les enseignants les 17, 18 et 19 octobre pour défendre leurs revendications. Aujourd'hui également, on a observé des arrêts de travail dans plusieurs écoles.
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