Dans un communiqué rendu public ce vendredi et consulté par l'agence de presse Top News Africa, les anciens Fescistes ont annoncé plusieurs mesures visant à soutenir les leaders du mouvement, visés par plusieurs procédures judiciaires et en détention préventive depuis le 2 octobre 2024.
Pour assurer une défense de Sié Kambou et des autres leaders du mouvement, une Commission judiciaire, dirigée par Me Serge Gbougnon, a été mise en place pour garantir le respect des droits des camarades poursuivis.
Selon le communiqué, cette structure regroupera des avocats et experts juridiques afin de rappeler à l’État et à ses démembrements que la présomption d’innocence est un principe fondamental du droit.
"Nous lançons cet appel en direction de ceux qui veulent prendre part à cette bataille, de bien vouloir renforcer le collège des avocats existant, pour qu’avec Me Gbougnon et les autres, cette crise trouve une solution qui fasse triompher la vérité", a écrit dans le communiqué le président de l’UNA-FESCI, Martial Joseph Ahipaud.
Pour soutenir cette bataille juridique, une Commission finances a été formée et placée sous la coordination de Kohi Brou, dit "Mckoy". Chargée de collecter des fonds auprès des anciens Fescistes et sympathisants, cette commission vise à couvrir les frais de la défense judiciaire.
Au sein de la diaspora, une équipe composée de Martial Joseph Ahipeaud, Made Gueu et d’autres anciens Fescistes a également été désignée pour organiser des mécanismes de collecte. "Nous appelons toutes les générations d’anciens Fescistes, ainsi que les démocrates, à contribuer financièrement pour soutenir ce combat en faveur de la justice", indique le communiqué.
Les anciens Fescistes insistent sur la nécessité de concentrer leurs efforts sur la procédure judiciaire, seul moyen de clarifier les faits et de relier les violences institutionnelles et résiduelles.
"Il est impératif que la vérité éclate pour garantir les droits des camarades et préserver les acquis syndicaux estudiantins", conclut le texte signé par Martial Joseph Ahipeaud, président des anciens Fescistes.
Le procureur Oumar Braman Koné, a informé le 1er octobre dernier que dans la nuit du 29 au 30 septembre 2024, les agents de la Police criminelle ont été informés de la présence d’un corps sans vie au CHU de Cocody, qui présentait des traces de violences physique.
Pour assurer une défense de Sié Kambou et des autres leaders du mouvement, une Commission judiciaire, dirigée par Me Serge Gbougnon, a été mise en place pour garantir le respect des droits des camarades poursuivis.
Selon le communiqué, cette structure regroupera des avocats et experts juridiques afin de rappeler à l’État et à ses démembrements que la présomption d’innocence est un principe fondamental du droit.
"Nous lançons cet appel en direction de ceux qui veulent prendre part à cette bataille, de bien vouloir renforcer le collège des avocats existant, pour qu’avec Me Gbougnon et les autres, cette crise trouve une solution qui fasse triompher la vérité", a écrit dans le communiqué le président de l’UNA-FESCI, Martial Joseph Ahipaud.
Pour soutenir cette bataille juridique, une Commission finances a été formée et placée sous la coordination de Kohi Brou, dit "Mckoy". Chargée de collecter des fonds auprès des anciens Fescistes et sympathisants, cette commission vise à couvrir les frais de la défense judiciaire.
Au sein de la diaspora, une équipe composée de Martial Joseph Ahipeaud, Made Gueu et d’autres anciens Fescistes a également été désignée pour organiser des mécanismes de collecte. "Nous appelons toutes les générations d’anciens Fescistes, ainsi que les démocrates, à contribuer financièrement pour soutenir ce combat en faveur de la justice", indique le communiqué.
Les anciens Fescistes insistent sur la nécessité de concentrer leurs efforts sur la procédure judiciaire, seul moyen de clarifier les faits et de relier les violences institutionnelles et résiduelles.
"Il est impératif que la vérité éclate pour garantir les droits des camarades et préserver les acquis syndicaux estudiantins", conclut le texte signé par Martial Joseph Ahipeaud, président des anciens Fescistes.
Le procureur Oumar Braman Koné, a informé le 1er octobre dernier que dans la nuit du 29 au 30 septembre 2024, les agents de la Police criminelle ont été informés de la présence d’un corps sans vie au CHU de Cocody, qui présentait des traces de violences physique.
Des premières informations recueillies, il ressort qu’il s’agissait d’un membre de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire de l’Université d’Abobo-Adjamé, le nommé Agui Mars Aubin Déagoué, alias ‘’Général sorcier’’, étudiant en Master 2. Ce dernier serait le principal opposant au secrétaire général de la FESCI, le nommé Kambou Sié.
Plus tard, l’on a appris l’arrestation de six membres de la FESCI, dont le secrétaire général, Kambou Sié. Dans la foulée, la FESCI a été dissoute.
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