C’est pourquoi le Comité national de lutte contre la traite des personnes (Cnltp), en collaboration avec l’Onudc et Promis, a ouvert un atelier de révision et de validation de la stratégie nationale de communication relative à la lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite de migrants. C'était le 2 juillet 2024 à Grand-Bassam. Cet atelier a pris fin le 5 juillet 2024.
Affoué Sylvie Konan Kouamé, officier des droits de l’homme et responsable de projet Promis (protection des migrants) a, au nom de Cheikh Touré, responsable de bureau de l’Onudc en Côte d’Ivoire, salué l’intérêt et l’engagement des participants dans cette lutte.
Pour elle, la traite des êtres humains, et en particulier celle des enfants et des femmes, est un phénomène mondial qui n’épargne pas le continent africain et ses régions.
« Les victimes de la traite se retrouvent dans des situations d'exploitation impliquant des abus physiques et psychologiques. Qui resteront gravés pour toujours dans le corps et l’esprit des victimes avec comme résultante des vies brisées, des destinées réquisitionnées et une perte incalculable pour le développement des pays d’origine. Elle inclut divers secteurs d’activités, à savoir les exploitations agricoles, les fermes, les mines et les carrières. Par ailleurs, dit-elle, elle revêt diverses formes d’exploitation comprenant la mendicité forcée, la servitude domestique, le mariage forcé, l'esclavage, la pornographie infantile, le trafic d'organes, ainsi que le recrutement forcé par des groupes terroristes ».
Affoué Sylvie Konan Kouamé, officier des droits de l’homme et responsable de projet Promis (protection des migrants) a, au nom de Cheikh Touré, responsable de bureau de l’Onudc en Côte d’Ivoire, salué l’intérêt et l’engagement des participants dans cette lutte.
Pour elle, la traite des êtres humains, et en particulier celle des enfants et des femmes, est un phénomène mondial qui n’épargne pas le continent africain et ses régions.
« Les victimes de la traite se retrouvent dans des situations d'exploitation impliquant des abus physiques et psychologiques. Qui resteront gravés pour toujours dans le corps et l’esprit des victimes avec comme résultante des vies brisées, des destinées réquisitionnées et une perte incalculable pour le développement des pays d’origine. Elle inclut divers secteurs d’activités, à savoir les exploitations agricoles, les fermes, les mines et les carrières. Par ailleurs, dit-elle, elle revêt diverses formes d’exploitation comprenant la mendicité forcée, la servitude domestique, le mariage forcé, l'esclavage, la pornographie infantile, le trafic d'organes, ainsi que le recrutement forcé par des groupes terroristes ».
Selon elle, des défis restent encore à surmonter. Ils concernent l’identification et la prise en charge des besoins de protection, d’assistance des victimes d’une part, et d’autre part, ils ont trait au traitement judiciaire des cas de traite à caractère transnational impliquant des enfants et femmes victimes.
Il faut également souligner le niveau d’organisation des réseaux de trafiquants de plus en plus structurés ainsi que le faible niveau de sensibilisation des populations des pays particulièrement ciblés.
Face à cette situation alarmante, de nombreux efforts ont été déployés par les gouvernements avec l’appui des partenaires au développement. Ces efforts portent sur le renforcement des cadres institutionnels, législatifs et programmatiques de lutte contre la traite des personnes, y compris celle des enfants.
Kobenan Adou, directeur du Cnltp, au nom de la ministre de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, a souligné que cet atelier est d’une importance capitale pour les populations.
« Vous avez tout ce qu’il faut pour adresser des bons messages à l’endroit de nos populations. La ministre Myss Belmonde Dogo attend beaucoup de ces travaux », a-t-il indiqué avant de souhaiter de bons travaux aux participants.
Il faut également souligner le niveau d’organisation des réseaux de trafiquants de plus en plus structurés ainsi que le faible niveau de sensibilisation des populations des pays particulièrement ciblés.
Face à cette situation alarmante, de nombreux efforts ont été déployés par les gouvernements avec l’appui des partenaires au développement. Ces efforts portent sur le renforcement des cadres institutionnels, législatifs et programmatiques de lutte contre la traite des personnes, y compris celle des enfants.
Kobenan Adou, directeur du Cnltp, au nom de la ministre de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, a souligné que cet atelier est d’une importance capitale pour les populations.
« Vous avez tout ce qu’il faut pour adresser des bons messages à l’endroit de nos populations. La ministre Myss Belmonde Dogo attend beaucoup de ces travaux », a-t-il indiqué avant de souhaiter de bons travaux aux participants.
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