Le 26 novembre 2024, dans un reportage de France 24, les représentants des victimes ont fait part de manipulations dans les listes de bénéficiaires.
À notre niveau, nous avions enregistré 398 personnes, tandis qu'ils en ont enregistré 628, ce qui représente un écart de 230 personnes.
En d'autres termes, il existe 230 fausses victimes qui sont habituellement des employés de la mairie, des proches ou des conseillers municipaux », a dénoncé Michel Bah Irieh, représentant des personnes qui ont fui Banco 1.
Une autre représentante a déclaré : « Dans le but de faire bouger les listes, on a finalement accordé des indemnités de relogement à des individus non éligibles, tandis que d'autres victimes légitimes n'y sont pas incluses ». Selon Michel Bah Irieh, représentant des personnes qui ont fui Banco 1, il y a 230 fausses victimes qui sont généralement des employés de la mairie, des proches ou des conseillers municipaux.
Une autre porte-parole a affirmé : « Pour faire avancer les listes, on a finalement versé des indemnités de relogement à des personnes non éligibles, alors que d'autres victimes légitimes n'y sont pas prises en compte ».
Une autre représentante a déclaré : « Dans le but de faire bouger les listes, on a finalement accordé des indemnités de relogement à des individus non éligibles, tandis que d'autres victimes légitimes n'y sont pas incluses ». Selon Michel Bah Irieh, représentant des personnes qui ont fui Banco 1, il y a 230 fausses victimes qui sont généralement des employés de la mairie, des proches ou des conseillers municipaux.
Une autre porte-parole a affirmé : « Pour faire avancer les listes, on a finalement versé des indemnités de relogement à des personnes non éligibles, alors que d'autres victimes légitimes n'y sont pas prises en compte ».
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