L'objectif de cette formation, mise en place par l'Agence de Gestion et de Recouvrement des Avoirs criminels (AGRAC) et soutenue par l'Agence allemande pour la Coopération Technique (GIZ), est d'approfondir leur compréhension des concepts, des outils juridiques, des enquêtes financières et des procédures de saisie et de confiscation des avoirs criminels.
Lors de l'inauguration de la formation, le lundi 11 novembre 2024, Marie Léonard Lébry, directeur général de l'Institut national de Formation judiciaire (INFJ), a encouragé les auditeurs à s'impliquer dans cette formation en tant que représentant du ministre de la Justice et des Droits de l'Homme.
Il a expliqué que cette formation permettra aux magistrats du siège de rendre la justice dans son intégralité, tandis que ceux du ministère public pourront exécuter entièrement les décisions de justice pénale.
De son côté, Bourahiman Ouattara, directeur général adjoint de l'AGRAC, a affirmé que la lutte contre la criminalité économique et financière, en particulier en saisissant et en confisquant les biens criminels, revêt une importance capitale pour maintenir la stabilité de notre système financier et la crédibilité de nos institutions : « L’objectif de cette formation est de renforcer vos capacités en matière de techniques d’investigation financière et de maîtrise des procédures de saisie et de confiscation.
De son côté, Bourahiman Ouattara, directeur général adjoint de l'AGRAC, a affirmé que la lutte contre la criminalité économique et financière, en particulier en saisissant et en confisquant les biens criminels, revêt une importance capitale pour maintenir la stabilité de notre système financier et la crédibilité de nos institutions : « L’objectif de cette formation est de renforcer vos capacités en matière de techniques d’investigation financière et de maîtrise des procédures de saisie et de confiscation.
Ces compétences sont essentielles pour assurer la détection, la poursuite et la privation des criminels de leurs gains illicites ».
Grâce à cette formation, selon Bourahiman Ouattara, « l’AGRAC souhaite faire en sorte que chaque acteur de la chaîne pénale soit informé, sensibilisé et formé, afin que notre lutte contre la criminalité économique et financière soit encore plus efficace ».
Selon le représentant de la GIZ, Roman Ambuehl, l’appui de son institution s’inscrit dans le cadre du projet « Bonne gouvernance pour davantage de redevabilité, d’intégrité et de transparence en Côte d’Ivoire ».
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