Il ne veut voir ni Jean-Marc Yacé, ni Ali Diomandé au siège de la fédération ivoirienne de taekwondo (Fitkd). En tout cas, pas pour l’instant. En entendant un règlement définitif de la crise, il a envoyé, lundi, les Forces de l’ordre et de sécurité vider tous les hommes du président Yacé du siège de la fédération situé au 2e étage du Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara (Cscticao).
C’est que le lundi 18 novembre 2024, le président Jean-Marc Yacé, révoqué par une assemblée générale extraordinaire le 19 octobre 2024 a tenté de se réinstaller de force dans les bureaux de la fédération et il a été empêché. « En droit, cela s’appelle obstruction à l'exécution d'une décision de justice. Personne n’a le droit de s’imposer. Ce n’est que partie remise », peste un proche du président qui a suivi de près la manifestation.
Le hic, c’est que les hommes du maire de Cocody qui disaient être munis d’une décision de justice qui réhabilite leur mentor dans son rôle de président de la Fitkd, avaient été rejoints, sur place, par un groupe opposé de plusieurs taekwondo-in en dobok (tenue vestimentaire des pratiquants d’arts martiaux).
« Nous avons appris que le président Yacé et ses deux adjoints qui sont magistrats usent de l’appareil judiciaire pour venir l’installer. En deux ans, ils ont presque détruit tout le travail abattu par le président Bamba Cheick Daniel, la réputation de la Côte d’Ivoire, les archives de la de la fédération ont disparu... Pour nous, la parenthèse Yacé est refermée. C’est pourquoi nous sommes allés pour empêcher ce passage en force», explique Sathurnin Gohnoulou, maître de salle et membre statutaire de la Fitkd, qui estime cette énième tentative du président Yacé à travers la justice est une défiance à l’autorité du premier ministre, ministre des Sports et du Cadre de vie, Robert Beugré Mambé.
C’est que le lundi 18 novembre 2024, le président Jean-Marc Yacé, révoqué par une assemblée générale extraordinaire le 19 octobre 2024 a tenté de se réinstaller de force dans les bureaux de la fédération et il a été empêché. « En droit, cela s’appelle obstruction à l'exécution d'une décision de justice. Personne n’a le droit de s’imposer. Ce n’est que partie remise », peste un proche du président qui a suivi de près la manifestation.
Le hic, c’est que les hommes du maire de Cocody qui disaient être munis d’une décision de justice qui réhabilite leur mentor dans son rôle de président de la Fitkd, avaient été rejoints, sur place, par un groupe opposé de plusieurs taekwondo-in en dobok (tenue vestimentaire des pratiquants d’arts martiaux).
« Nous avons appris que le président Yacé et ses deux adjoints qui sont magistrats usent de l’appareil judiciaire pour venir l’installer. En deux ans, ils ont presque détruit tout le travail abattu par le président Bamba Cheick Daniel, la réputation de la Côte d’Ivoire, les archives de la de la fédération ont disparu... Pour nous, la parenthèse Yacé est refermée. C’est pourquoi nous sommes allés pour empêcher ce passage en force», explique Sathurnin Gohnoulou, maître de salle et membre statutaire de la Fitkd, qui estime cette énième tentative du président Yacé à travers la justice est une défiance à l’autorité du premier ministre, ministre des Sports et du Cadre de vie, Robert Beugré Mambé.
Puisque, selon lui, le maire de Cocody sait très bien que le ministère des Sports suspendu tout ce qui est activité de taekwondo jusqu’à nouvel ordre. Le temps de ramener la paix.
En plus de la décision de la tutelle qui date du 24 octobre dernier, il y a une mission d’écoute des instances internationales qui a séjourné du 11 au 13 novembre dernier à Abidjan. Les responsables de l’Union africaine de taekwondo (Aftu) sont allés rendre compte à la fédération mondiale dont la décision est attendue.
En plus de la décision de la tutelle qui date du 24 octobre dernier, il y a une mission d’écoute des instances internationales qui a séjourné du 11 au 13 novembre dernier à Abidjan. Les responsables de l’Union africaine de taekwondo (Aftu) sont allés rendre compte à la fédération mondiale dont la décision est attendue.
Et puis, le Centre Alassane Ouattara qui est un établissement public de type particulier a décidé de protéger son bâtiment et son personnel d’un éventuel affrontement, en fermant les bureaux du deuxième étage qui abritent la fédération de taekwondo, a rappelé Me Gnohoulou, ceinture noire 3e dan, qui pense que la dernière sortie du Premier ministre est un pas en avant vers la résolution de la crise.
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