Cela fait plus de trois mois que le chorégraphe et chanteur, DJ Abobolais est interné à la clinique Sainte Henriette d’Angré à Cocody. Les parents de l’artiste ont lancé un sos pour venir en aide au chanteur qui est maintenu en vie grâce à une assistance respiratoire, en vue d’une possible évacuation en Europe.
Le Bureau ivoirien des droits d’auteur n’est pas resté en marge de cette affaire. Le chargé de communication de la structure, David Kouamé, s’est prononcé sur la contribution du Burida dans l’état de santé d’Abobolais.
« Le Burida a déjà fait bien au-delà de ce qu’il devait faire, donc si la famille de l’artiste trouve que sa part qui lui revient est de faire des SOS, nous Burida n’avons rien à dire sur cette attitude…Abobolais est assuré par MCI Sogem, grâce à la politique sociale mise en place par le Burida. Ce qui lui a permis d’être pris en charge en clinique dès les premières heures de son accident, après avoir transité par un Chu. Le plafond par famille pour cette assurance est de 2,5 millions de F CFA, mais avec l’intervention de notre DG, la directrice de la micro-assurance Oréole qui est le courtier auprès de MCI a pu obtenir que le plafond soit revu à 5millions pour permettre à l’artiste d’être pris en charge selon le temps nécessaire à guérison, vu qu’il était dans le coma...Malheureusement, au moment où nous obtenions ce bonus, les charges quotidiennes liées à son hospitalisation grimpaient au point d'atteindre 8 millions, c'est donc pour la différence et les éventuels charges à venir que sa famille a choisi de lancer les SOS » a-t-il expliqué aux confrères de Soir info.
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