Le candidat déclaré dans la course pour briguer la mairie du Plateau, Fabrice Sawegnon était face aux populations de ladite commune le dimanche 14 janvier 2018, à l’occasion de la cérémonie de présentation des vœux pour le nouvel an.
Celui que certains appellent ‘’Monsieur le maire’’ a eu un discours d’apaisement à quelques mois des municipales, qui de l’avis de certains observateurs seront âprement disputées dans la commune du Plateau.
‘’On n’a pas besoin de palabres ni d’injures. Sortons des palabres et querelles inutiles. La mairie ce n’est pas la politique, c’est un sacerdoce. Il faut aimer son prochain pour arriver à améliorer sa vie. C’est pourquoi, j’ai besoin de vous pour défendre mon programme et apporter le changement’’, s’est exprimé Fabrice Sawegnon.
Le PDG de Voodoo Groupe, tout en prônant l’apaisement et la courtoisie, a insisté auprès des populations sur sa vision pour un Plateau, où il fait bon vivre aussi bien pour les travailleurs que pour les populations qui y résident.
‘’J’ai besoin de vous pour défendre mon programme et apporter le changement. Allez partout prêcher la bonne parole, la parole du changement, qui façonnera la face du Plateau’’, a-t-il insisté auprès des populations qui ont envahi l’auditorium de la Caistab pour cette cérémonie de présentation de vœux.
Plusieurs personnalités, parmi lesquelles Yves Zogbo Junior, Porquet, Odette Tro de l’initiative des femmes du Plateau et Ouattara Moustapha, le président de l’initiative jeune, ont apporté leur soutien au PDG de Voodoo Group dans la course pour la mairie du Plateau. Revenant sur des propos tenus dans la presse par ses adversaires, Fabrice Sawegnon les a conviés à un ‘’meet up’’ dimanche prochain au Sofitel hôtel Ivoire pour échanger sur tous les sujets le concernant. Notamment, le débat sur sa nationalité, ses affaires, sa candidature aux municipales de 2018 et bien d’autres sujets.
« Les gens se posent beaucoup de questions sur ma nationalité, ma vie… Je serai à leur disposition ce dimanche. Car moi je ne suis pas hypocrite », a conclu Fabrice Sawegnon.
Elisée B.
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