«Si à midi il n'accepte pas de quitter la Gambie sous la bannière du Pr Condé, alors les troupes vont passer à l'intervention militaire proprement dite», a prévenu Marcel Alain de Souza, qualifiant les opérations menées jusque là de «tirs de sommation». «Il est hors de question qu'il reste sur place, a-t-il précisé. Ce qu'on lui propose, c'est de partir».
Le responsable de la Cédéao a affirmé que 7000 hommes au total seraient mobilisés par les cinq pays engagés (Sénégal, Nigeria, Ghana, Togo, Mali) dans cette opération lancée à partir du territoire sénégalais, dans lequel la Gambie est totalement enclavée à l'exception d'une étroite bande côtière.
Les troupes africaines, entrées par plusieurs points du territoire gambien, ont avancé sans rencontrer de résistance de la part de l'armée ou de la police, a indiqué à l'AFP une source de sécurité gambienne.
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