Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le Général Diomandé Vagondo, a présidé l’ouverture de l’atelier en vue de la validation des documents de politique et stratégie nationales de protection civile.
« Doter la Côte d’Ivoire de documents de politique et de stratégie pour une planification et une prise en charge optimales des missions de protection civile ». Tel est l’objectif principal d’un atelier, ouvert, hier dans un hôtel de la ville de Grand-Bassam. La cérémonie a été présidée par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le Général Diomandé Vagondo.
Durant trois jours, les agents de l’Offiice nationale de Protection civile (Onpc), des parties prenantes provenant des structures publiques, privées, des Ong, de la société civile, du Système des Nations unies et des partenaires techniques et financiers vont mener des réflexions en vue de sortir des textes consensuels et conformes aux standards internationaux.
Lesquels vont permettre, souligne le ministre, « d’accroitre à l’horizon 2030, l’efficacité des services de protection civile afin de prévenir les risques et répondre promptement aux situations d’urgence et aux sollicitations des communautés avec les moyens appropriés ».
Situant le bien-fondé, de cette initiative, Diomandé Vagondo a expliqué qu’au fil des années, les risques en matière de sécurité s’accroissent, notamment ceux liés à la survenue des catastrophes ou des crises.
Les défis des États en matière de protection civile à relever deviennent alors importants. D’où la mise en place d’une nouvelle politique et stratégie en cette matière de protection civile pour une meilleure sécurité des populations.
Pour le directeur général de l’Onpc, Amankou Kassi Gabin, il s’agira de façon spécifique d’analyser les documents de politique et de stratégie nationales de protection civile, en prenant en compte les observations et les recommandations. De valider ces documents, sans manquer de formuler des recommandations pour les prochaines étapes, celles de l’adoption par le gouvernement, la large diffusion ainsi que la mobilisation des ressources.
Il faut indiquer que c’est à l’occasion d’un atelier sur le « Diagnostic de la protection civile » tenu à Yamoussoukro les 15 et 16 avril 2021, que les participants, convaincus de la nécessité de parvenir à une synergie d’actions, ont recommandé l’élaboration d’une politique et d’une stratégie nationales en matière de protection civile.
Durant trois jours, les agents de l’Offiice nationale de Protection civile (Onpc), des parties prenantes provenant des structures publiques, privées, des Ong, de la société civile, du Système des Nations unies et des partenaires techniques et financiers vont mener des réflexions en vue de sortir des textes consensuels et conformes aux standards internationaux.
Lesquels vont permettre, souligne le ministre, « d’accroitre à l’horizon 2030, l’efficacité des services de protection civile afin de prévenir les risques et répondre promptement aux situations d’urgence et aux sollicitations des communautés avec les moyens appropriés ».
Situant le bien-fondé, de cette initiative, Diomandé Vagondo a expliqué qu’au fil des années, les risques en matière de sécurité s’accroissent, notamment ceux liés à la survenue des catastrophes ou des crises.
Les défis des États en matière de protection civile à relever deviennent alors importants. D’où la mise en place d’une nouvelle politique et stratégie en cette matière de protection civile pour une meilleure sécurité des populations.
Pour le directeur général de l’Onpc, Amankou Kassi Gabin, il s’agira de façon spécifique d’analyser les documents de politique et de stratégie nationales de protection civile, en prenant en compte les observations et les recommandations. De valider ces documents, sans manquer de formuler des recommandations pour les prochaines étapes, celles de l’adoption par le gouvernement, la large diffusion ainsi que la mobilisation des ressources.
Il faut indiquer que c’est à l’occasion d’un atelier sur le « Diagnostic de la protection civile » tenu à Yamoussoukro les 15 et 16 avril 2021, que les participants, convaincus de la nécessité de parvenir à une synergie d’actions, ont recommandé l’élaboration d’une politique et d’une stratégie nationales en matière de protection civile.
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