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La Journée africaine de la médecine traditionnelle a été célébrée hier, mercredi 31 août, à la Bibliothèque nationale du Plateau. Une occasion pour les acteurs de prôner le respect des normes du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Mais aussi d’égrener un chapelet de doléances devant les autorités de l’État. C’est ainsi qu’Anoh Kouao Daniel, président de praticiens, a sollicité au nom de ses pairs, une autorisation pour l’ouverture d’une école de médecine traditionnelle et de pharmacopée traditionnelle.
Aussi, il a demandé la réduction des coûts des analyses et des tests de leurs produits ainsi que la dotation à leur association d’une subvention annuelle destinée à l’amélioration de la qualité du travail de ses membres pour mieux contribuer au système de santé.
(Source : Fraternité Matin)
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