C’est une lapalissade de dire que le Burkina traverse une situation très difficile. S’il est vrai que les grandes nations se bâtissent avec aussi leur part de difficultés et de grands défis, il n’est pas moins vrai que la conscience collective est nécessaire pour bâtir quelque chose de solide, qui tient pour l’histoire et dispose pour l’avenir. Mais on se demande si cette conscience collective-là peut se constituer sans un minimum d’entente entre les membres de la société. Ne faut-il pas créer les conditions de l’unité du peuple burkinabè, ce d’autant que le président du Faso a, lui-même, réitéré cet appel ?
il y a 1 an
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