Lancement des 16 Jours d'Activisme Contre les Violences Faites aux Femmes et aux Filles
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Lancement des 16 Jours d'Activisme Contre les Violences Faites aux Femmes et aux Filles
Bouna, Côte d'Ivoire – Un vent de changement souffle dans la région du Bounkani (Nord-Est de la Côte d'Ivoire), où des femmes, mères et survivantes d’abus, se sont mobilisées pour dénoncer ouvertement les Mutilations Génitales Féminines (MGF) et les Violences Basées sur le Genre (VBG), des pratiques longtemps tues par la tradition.
Sommet des filles d’Afrique de l’Ouest et du Centre : Un appel urgent à garantir leurs droits
Une trentaine de leaders communautaires et membres de la plateforme locale de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) à Doropo ont récemment suivi un atelier de renforcement de capacités. Organisé du 10 au 12 juin 2025 à la sous-préfecture, cet événement a eu lieu en présence du préfet Tohoury Paulin-Martial Okou.
Du 17 au 23 décembre 2024, le Programme National de Lutte contre les Violences Basées sur le Genre (PNLVBG) a mené une série de sensibilisations dans le cadre de la campagne « Carton rouge », visant à éliminer les discriminations et violences envers les filles et les femmes, notamment durant les fêtes de fin d’année.
Le 23 décembre 2024, la campagne de sensibilisation “Carton Rouge” a eu lieu au marché Siaka Koné d’Abobo, visant à renforcer la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) et les pratiques néfastes, à l’approche des fêtes de fin d’année.
L’ONG les Orchidées rouges a organisé, samedi 31 août 2024, une campagne de sensibilisation à Ferkessédougou sur les Violences basées sur le genre (VBG), avec un accent particulier sur les Mutilations génitales féminines (MGF), dans le cadre du projet « Briser les barrières, mobiliser les jeunes ».
Interdite dans le pays depuis 2015, la pratique se fait toujours en cachette.
L’Amicale des femmes fonctionnaires et épouses de fonctionnaires de Kouto (AFFEFK) invite les populations du département et surtout les victimes à dénoncer les cas de violences basées sur le genre (VBG).
Des leaders de communautés ainsi que des exciseuses de la localité de Man (dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire), ont été sensibilisés au cours d’un atelier, à l’abandon de l’excision eu égard aux conséquences irréversibles (infections, kystes, hémorragies…) et des souffrances physiques, sociales et psychologiques indicibles dont sont sujets les victimes.
Un projet visant à soutenir la promotion de l’abandon des Mutilations génitales féminines (MGF) a été initié dans la région du Bafing, au nord-ouest de la Côte d’Ivoire, rapporte un communiqué de la Fondation Djigui, la grande espérance, transmis jeudi 8 février 2024, à l’AIP.
Dix-sept organisations féminines ont sensibilisé, samedi 03 février 2024, les exciseuses et les femmes de Guiglo à abandonner la pratique des mutilations génitales féminines (MGF), prônant la tolérance zéro.
Selon les estimations de l'OMS , entre 130 et 140 millions de femmes ont subi une mutilation génitale. La Côte d'Ivoire est un des pays d'Afrique les plus touchés par la pratique de l'excision et on estime à 36% le nombre de femmes excisées dans le pays. Dire que la pratique persiste relève donc de l'euphémisme.
La présidente de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), Namizata Sangaré, était devant le Sénat, ce lundi 4 décembre 2023, pour présenter le Rapport 2022 sur l’état des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire qui relève 913 cas de violences basées sur le genre.
La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Nassénéba Touré, a exhorté le 25 novembre 2023, l’ensemble des acteurs de la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles à une synergie d’actions. C’était à l’occasion du lancement des 16 jours d’activisme contre ledit phénomène.
La représentante résidente de l’agence directrice des Nations Unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive (UNFPA), Céline Compaoré, a annoncé une baisse de la prévalence des mutilations génitales féminines (MGF) estimée à 20% au niveau national, lors du lancement de deux programmes conjoints d’amélioration du système statistique et celui sur les Violences basées sur le genre (VBG).
L’Organisation internationale pour la recherche de la paix (OIRP) envisage de former les rois et chefs traditionnels dans le domaine de la médiation en vue de gérer au mieux les éventuels crises et conflits.
Les mutilations génitales féminines (MGF) sont « une violence à l’égard des femmes et des filles, un scandale et une violation flagrante des droits de l’homme à laquelle il convient de mettre fin », a décrié, la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Nassénéba Touré, lundi 06 février 2023, à l’occasion de la cérémonie officielle de commémoration de la journée mondiale de lutte contre les MGF, à la préfecture de Man.
L’annuaire statistique 2021 du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (MFFE), présenté jeudi 29 décembre 2022 au Cabinet dudit ministère, révèle que 6040 cas de violences basées sur le genre (VBG) ont été déclarés et pris en charge en 2021, dont 954 viols sur les femmes, et que sur les 4.586 victimes déclarés et pris en charge chez les enfants dont 714 cas de viol.
Des leaders communautaires, religieux et associatifs, ainsi que d’autres acteurs ont été la cible d’une campagne régionale de communication sur le changement social et comportemental en faveur de l’autonomisation des femmes et des filles dans le Tonkpi, mardi 13 décembre 2022 à la préfecture de Man.