Le Burkinabé, qui était à l'apogée de sa carrière et brillait en Ligue 1, a manqué l'occasion de rejoindre les Gunners en raison d'une blessure.
C'était durant la Coupe d'Afrique des Nations 2013 en Afrique du Sud. Alain Traoré avait déjà conclu un pré-accord avec le club londonien et il devrait finaliser son contrat une fois le tournoi terminé. Malheureusement pour lui, il subit une grave blessure pendant la compétition, et tout échoue pour l'ancien joueur de l'AJ Auxerre.
Après une absence de plus de six mois, Arsenal se désengage de la course pour l'acquisition d'Alain Traoré, qui finira par rejoindre l'AS Monaco deux ans plus tard, en 2015.
L'ex-ailier du Stade Brestois a eu beaucoup de mal à surmonter cette blessure qui lui a coûté la possibilité de rejoindre un grand club comme Arsenal.
« Je me suis fréquemment fait du mal et j'ai constamment œuvré pour revenir. » Chaque fois qu'on tente de me mettre à terre à cause de mes blessures, je ressurgis toujours avec davantage de force.
Toutefois, cette blessure lors de la CAN 2013 était non seulement excessive, mais également survenue à un moment inopportun.
Avant la Coupe d'Afrique des Nations, j'étais censé conclure un contrat avec Arsenal. Il faut le dire, les recruteurs viennent à la CAN. Sur place, tout était parfaitement organisé. Cependant, c'est à ce moment-là que je me blesse pour une durée de six mois.
Déjà avant la CAN, de nombreux éléments étaient en jeu. J'ai eu ma jambe plâtrée pendant deux semaines et j'hésitais à m'y rendre juste pour finaliser ce dossier. Voilà. C'est vraiment dommage. J'étais dégoûté et souhaitais tout abandonner. « C'est grâce à l'appui de ma mère que j'ai pu surmonter cette épreuve et retrouver le plaisir de jouer », a relaté l'ex-capitaine de l'équipe nationale du Burkina Faso, les Etalons.
Toutefois, cette blessure lors de la CAN 2013 était non seulement excessive, mais également survenue à un moment inopportun.
Avant la Coupe d'Afrique des Nations, j'étais censé conclure un contrat avec Arsenal. Il faut le dire, les recruteurs viennent à la CAN. Sur place, tout était parfaitement organisé. Cependant, c'est à ce moment-là que je me blesse pour une durée de six mois.
Déjà avant la CAN, de nombreux éléments étaient en jeu. J'ai eu ma jambe plâtrée pendant deux semaines et j'hésitais à m'y rendre juste pour finaliser ce dossier. Voilà. C'est vraiment dommage. J'étais dégoûté et souhaitais tout abandonner. « C'est grâce à l'appui de ma mère que j'ai pu surmonter cette épreuve et retrouver le plaisir de jouer », a relaté l'ex-capitaine de l'équipe nationale du Burkina Faso, les Etalons.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article