En présence du ministre de la Sécurité et de l'Intérieur, Vagondo Diomandé, représentant le Premier ministre ivoirien, Dr Beugré Mambé, du président de Commission de l'Union africaine, Moussa Mahamat Fakhi, des membres du gouvernement ainsi que des partenaires techniques et financiers, Diakaridia Konaté, par ailleurs, Secrétaire exécutif de la Commission nationale des frontières de Côte d'Ivoire (CNFCI) a expliqué les défis de gouvernance, de sécurité, de prévention des conflits, de cohésion sociale et surtout de développement socio-économique durable de nos zones frontalières, à relever.
Par ailleurs, ''la menace sécuritaire, du fait des groupes terroristes qui se déploient à grande échelle dans la sous-région ouest-africaine a fait des zones frontalières, des points d’appui de leur expansion, en raison de la fragilité de celles-ci'', a-t-il indiqué.
''A cette menace terroriste venant du nord, il faut ajouter la piraterie maritime qui met à mal nos frontières maritimes, notamment dans le golfe de Guinée. Par ailleurs, la question de l’aménagement et du développement des zones frontalières occupe depuis quelques années, une bonne place dans les politiques publiques des pays africains'', a ajouté M. Konaté dans son intervention.
Selon lui, face à cette diversité des enjeux et de défis que soulève la gouvernance des frontières africaines, ''il nous est donc apparu nécessaire de créer un cadre de rencontres, de réflexions et de partages d’expériences pour une pleine appropriation de ces problématiques par les différents acteurs et décideurs en lien avec la gestion des frontières. D’où, la création d’un forum international sur les frontières que nous avons dénommé Abidjan Border Forum'', a expliqué le Commissaire général d'ABF 2024.
Cette deuxième édition d’Abidjan Border Forum ambitionne de réunir à partir d’aujourd’hui 23 octobre et ce jusqu’au 25 octobre prochain, 5000 participants au nombre desquels, des délégations des structures régionales, sous-régionales et nationales en charge de la gouvernance des frontières venant de tous les pays d’Afrique, les promoteurs, les universitaires, les praticiens, les étudiants, les hommes et femmes des médias ainsi que les acteurs frontaliers et de la société civile.
Elle sera meublée de panels, de conférences, de tables rondes de haut niveau, de rencontres B to B, de networking et d’activités culturelles. Aussi, Diakaridia Konaté a exhorté l’ensemble des participants à s’approprier les activités de ce forum et à y apporter leurs contributions constructives respectives à sa réussite.
Par ailleurs, ''la menace sécuritaire, du fait des groupes terroristes qui se déploient à grande échelle dans la sous-région ouest-africaine a fait des zones frontalières, des points d’appui de leur expansion, en raison de la fragilité de celles-ci'', a-t-il indiqué.
''A cette menace terroriste venant du nord, il faut ajouter la piraterie maritime qui met à mal nos frontières maritimes, notamment dans le golfe de Guinée. Par ailleurs, la question de l’aménagement et du développement des zones frontalières occupe depuis quelques années, une bonne place dans les politiques publiques des pays africains'', a ajouté M. Konaté dans son intervention.
Selon lui, face à cette diversité des enjeux et de défis que soulève la gouvernance des frontières africaines, ''il nous est donc apparu nécessaire de créer un cadre de rencontres, de réflexions et de partages d’expériences pour une pleine appropriation de ces problématiques par les différents acteurs et décideurs en lien avec la gestion des frontières. D’où, la création d’un forum international sur les frontières que nous avons dénommé Abidjan Border Forum'', a expliqué le Commissaire général d'ABF 2024.
Cette deuxième édition d’Abidjan Border Forum ambitionne de réunir à partir d’aujourd’hui 23 octobre et ce jusqu’au 25 octobre prochain, 5000 participants au nombre desquels, des délégations des structures régionales, sous-régionales et nationales en charge de la gouvernance des frontières venant de tous les pays d’Afrique, les promoteurs, les universitaires, les praticiens, les étudiants, les hommes et femmes des médias ainsi que les acteurs frontaliers et de la société civile.
Elle sera meublée de panels, de conférences, de tables rondes de haut niveau, de rencontres B to B, de networking et d’activités culturelles. Aussi, Diakaridia Konaté a exhorté l’ensemble des participants à s’approprier les activités de ce forum et à y apporter leurs contributions constructives respectives à sa réussite.
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