Voyage au Mali: le JNIM exige le port du voile et la séparation hommes-femmes dans les transports
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Voyage au Mali: le JNIM exige le port du voile et la séparation hommes-femmes dans les transports
Mali : des dizaines de camions ivoiriens incendiés par des terroristes à Sikasso
Les sources locales et sécuritaires ont rapporté jeudi que l'assaut a ciblé Diapaga, une grande ville de l'est du pays, le 12 mai. Des prisonniers ont aussi été relâchés de la prison locale.
La région Nord du Burkina Faso est de nouveau la cible d'attaques terroristes. Pas moins de quatre attaques ont été recensées en moins d'une semaine. La dernière en date s'est produite le dimanche 16 février à Séguénega.
Au moins huit personnes ont trouvé la mort dans une nouvelle attaque dans le nord du Togo.
Le chef de l’Etat sénégalais a accueilli Mahamadou Issoufou, ancien président du Niger et président du Panel indépendant de haut niveau sur la sécurité et le développement au Sahel pour discuter notamment de la dégradation de la situation sécuritaire dans la région.
Au Mali, toujours aucun bilan officiel après la double attaque jihadiste qui a frappé le 17 septembre 2024 la capitale. Une école de gendarmerie et une base militaire située à l'aéroport de Bamako ont été attaquées par le Jnim (Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans), lié à al-Qaïda. Les autorités maliennes de transition reconnaissent « quelques pertes en vies humaines ». Une cérémonie d'obsèques devait avoir lieu en fin d'après-midi, jeudi, à Bamako. Mais aucune image, aucune information à ce stade. Des sources sécuritaires et civiles maliennes évoquent quant à elles un bilan très lourd de plus de 70 morts.
Le ministère russe de la Défense a annoncé l’arrivée d’une aide significative pour les Forces Armées Maliennes (FAMa), destinée à renforcer leurs capacités dans la lutte contre le terrorisme.
Une partie des paramilitaires de la société russe Brigade Bear, arrivée à Ouagadougou en mai 2024, font déjà ses valises pour faire face à l'avancée de l'armée ukrainienne dans le territoire russe. Au Burkina Faso, la Brigade Bear était chargée de la sécurité de hautes personnalités, parmi lesquelles pourrait figurer le président Ibrahim Traoré.
Un collectif de proches des victimes du récent massacre de Barsalogho, dans le centre du Burkina Faso, accuse l'armée d'avoir forcé les habitants à sortir de la ville, les exposant à une attaque d'un groupe jihadiste affilié à Al-Qaïda qui a fait plusieurs dizaines de morts.
Le Sénégal a convoqué l’ambassadeur d’Ukraine suite à une publication de l’ambassade suggérant un soutien ukrainien aux rebelles maliens.
Selon les médias britanniques, le GUR a affirmé, sans plus de précisions, avoir appuyé les rebelles Touaregs dans l’attaque d’une colonne de mercenaires russes et de soldats de l’armée malienne, fin juillet dans le nord du Mali.
Selon un communiqué de l'armée malienne, il y a eu "un nombre significatif" de décès après des combats en fin de semaine dernière dans le nord du pays près de la frontière algérienne contre une "coalition de terroristes". Un groupe de Wagner avait annoncé plus tôt dans la journée des pertes russes et la mort d'un commandant à la suite de ces combats violents.
Au Mali, une vingtaine de personnes ont été tuées dimanche 21 juillet dans le village de Dembo, commune de Dimbal, près de Bankass, dans le centre du Mali.
Au Mali, une vidéo d’une rare violence circule depuis hier (mardi) sur les réseaux sociaux montrant un homme revêtu d’un uniforme des Forces armées maliennes (Fama) éventrer un cadavre pour manger son foie.
Les militaires du Conseil national de transition (CNT), au pouvoir depuis 2020, intensifient les liens entre le Mali et la Russie, en ratifiant un accord de coopération militaire et technique. Avec des volets économiques et humanitaires, entre autres.
Des soldats maliens et des mercenaires russes de Wagner sont arrivés à Ouagadougou. La situation est confuse au Burkina depuis l'attaque de Mansila, mardi 11 juin dernier, au cours de laquelle plus d'une centaine de soldats burkinabè ont été tués et certains pris en otage par les jihadistes du Jnim (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, liés à al-Qaïda). Après ce massacre, au sujet duquel les autorités de transition burkinabè n'ont à ce jour fait aucune déclaration, un mouvement de grogne s'est exprimé au sein d'une partie de l'armée. Mercredi dernier, un obus a été tiré sur le siège de la télévision nationale. L'origine de ce tir demeure à ce jour mystérieuse. Quant au président de transition, le capitaine Ibrahim Traoré, il s'est brièvement montré dimanche à l'occasion de la Tabaski, sans s'exprimer, il a également posté deux messages sur les réseaux sociaux pour parler de don du sang et des épreuves du baccalauréat. Ce qui ne fait qu'alimenter les interrogations sur sa situation... Dans ce contexte, selon nos informations, des soldats ont été transportés du Mali vers la capitale burkinabè Ouagadougou.
Ils étaient au moins 110 civils à avoir été enlevés le 16 avril dernier alors qu’ils voyageaient dans trois bus entre les localités de Bandiagara et Bankass.
Dans un tout nouveau rapport, l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (Onudc) révèle que la quantité de cocaïne saisie dans la zone est passée « d’une moyenne de 13 kg par an entre 2015 et 2020 à 41 kg en 2021 et 1466 kg en 2022 ».
Des soldats de l'armée malienne et des mercenaires russes du groupe Wagner sont entrés, dimanche 7 avril, sur le territoire mauritanien.