Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo annonce la ressaisie de la CPI sur la crise militaro-politique
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Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo annonce la ressaisie de la CPI sur la crise militaro-politique
Côte d’Ivoire–Burkina Faso : le dialogue reprend après des mois de tension
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Cameroun : Deux gendarmes tués par un Engin Explosif Improvisé (EEI) à Bamenda
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L'AES à l'ONU : Coopération Contre les GAT Sous Condition de Souveraineté
Dans une nouvelle vidéo diffusée ce dimanche 9 novembre, l'opposant camerounais, qui refuse toujours de reconnaître la victoire de Paul Biya à la présidentielle du 12 octobre, lance un ultimatum au pouvoir qu'il accuse de pratiquer un « gangstérisme d'État ». Si toutes les personnes arrêtées dans le cadre de la crise post-électorale ne sont pas libérées dans les 48 heures, « le peuple se retrouvera en situation de légitime défense », menace-t-il.
Éducation au Tchad : Le COSET et la PSSET Confirment le Maintien de la Grève Nationale
Tanzanie : l’opposition évoque 700 morts après les élections, le gouvernement dément
MALI : Nous vivons un supplice » : Nioro du Sahel, ville malienne, étouffée par le blocus jihadiste du JNIM
Bénin 2026 : Boni Yayi rompt le silence et critique vivement Patrice Talon
La présidentielle du 25 octobre 2025, qui a vu le Président Alassane Ouattara reconduit, n'a fait que confirmer une chose : si le régime est institutionnellement solide, l'opposition, elle, est en crise profonde. Contrainte de faire sans ses locomotives – Tidjane Thiam (PDCI) invalidé, Laurent Gbagbo (PPA-CI) inéligible – elle est sortie du scrutin sans tête ni stratégie claire. L'heure n'est plus à la contestation, mais à une remise en question existentielle face à la domination du pouvoir en place.
L’ancien premier ministre malien Moussa Mara a été condamné, lundi 27 octobre, à deux ans de prison dont un avec sursis pour « atteinte au crédit de l’Etat et opposition à l’autorité légitime » après avoir apporté son soutien sur les réseaux sociaux à des prisonniers politiques.
Le leader du Parti Démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Tidjane Thiam, a réaffirmé sa contestation des résultats de l'élection présidentielle de 2025 et a plaidé en faveur de l'organisation d'un dialogue national "sincère et inclusif" pour sortir de la crise post-électorale.
Dans un message d’une gravité qu’on ne lui connaissait pas, diffusé deux jours après le scrutin présidentiel, Tidjane Thiam, Président du PDCI-RDA, a livré une analyse sans concession. Son discours n'est pas seulement une critique des résultats : il avait tout l’air d’un plan de bataille pour la période post-électorale, qui repose sur le rejet de la légitimité du vote, une condamnation des violences et l'exigence d'un dialogue immédiat.