Antonio Guterres, Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies, a pris la parole lors de la cérémonie commémorative à l'Assemblée générale de l'ONU.
« Cette période tragique de l'histoire rwandaise nous enseigne que nul groupe social n'est immunisé contre la haine et l'atrocité. » Tout en analysant comment ces crimes ont été perpétrés, nous devons aussi considérer leur écho dans notre époque actuelle. « Nous traversons une période de division », a affirmé Antonio Guterres, Secrétaire général de l'ONU.
Robert Kayinamura, représentant du Rwanda aux Nations unies, a affirmé que la phrase « plus jamais ça » doit transcender le simple symbolisme.
« L'extermination des Tutsis n'est pas la seule calamité du Rwanda, mais sert de douloureux rappel de ce qui peut survenir si nous restons inactifs. » La prévention du génocide est une obligation collective, car le combat contre l'idéologie génocidaire ne saurait reposer uniquement sur les épaules des survivants ou des pays affectés. « Au final, c'est notre obligation et notre devoir collectif », a déclaré Robert Kayinamura, représentant du Rwanda à l'ONU.
« L'extermination des Tutsis n'est pas la seule calamité du Rwanda, mais sert de douloureux rappel de ce qui peut survenir si nous restons inactifs. » La prévention du génocide est une obligation collective, car le combat contre l'idéologie génocidaire ne saurait reposer uniquement sur les épaules des survivants ou des pays affectés. « Au final, c'est notre obligation et notre devoir collectif », a déclaré Robert Kayinamura, représentant du Rwanda à l'ONU.
Antonio Guterres, le Secrétaire général de l'ONU, a également exhorté tous les pays à adhérer immédiatement à la Convention sur le génocide et à assurer la protection de leurs populations contre le génocide, les crimes de guerre, la purification ethnique et les crimes contre l'humanité.
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