"Si vous n'avez pas de travail, je vous le conseille : si vous savez gérer l'argent et savez parler, le métier de chef apprenti vous aidera très bien", affirme-t-il en Akan.
"Quand vous travaillez, vous mangez, buvez de l'eau, et quand vous avez fini de travailler, vous ne manquez pas de rentrer chez vous."
Il a noté par expérience personnelle : "Pour moi, quand je vais à Atonsu, n'importe quel chauffeur viendra me chercher parce que je peux dire que l'apprenti est très utile."
Il a souligné les avantages pratiques, suggérant : « C'est encore plus gratifiant que l'enseignement ».
Détaillant les avantages financiers, il a illustré : « Quand je travaille, je mange et je fais tout, et si je reçois 80 cedis qui équivaut a 8.000f en rentrant chez moi, je dépense environ 10 cedis (1.000f), ce qui me laisse 70 cedis (7.000f). Si j'ai une femme et des enfants, et Je leur donne 20 cedis (2.000f), j'économise 50 cedis (5.000f) du lundi au samedi, vous pouvez imaginer."
Économiser 50 cedis (5.000f) par jour pendant 24 jours rapporte 1 200 GHC (120.000 FCFA), dépassant potentiellement les revenus de certains postes de cols blancs.
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