Une grande partie de ces déplacements forcés est due à l'augmentation des violences armées dans le Centre et le Nord, accentuée par des affrontements entre forces gouvernementales et groupes armés non étatiques.
Il y a aussi eu des tensions intercommunautaires dans des régions telles que Mopti et Gao, tandis que les inondations de juin à septembre ont causé la mort de 17 772 personnes dans les régions de Ségou, Gao, Bamako et Koulikoro.
Les zones les plus touchées par cette crise humanitaire comprennent Ménaka, qui compte 74 216 déplacés, Mopti, qui compte 65 240 et Gao, qui compte 54 021, soit plus de la moitié des déplacés.
Selon le rapport, 58 % des personnes déplacées sont des femmes et 58 % de cette population vulnérable est composée d'enfants de moins de 18 ans.
Les zones les plus touchées par cette crise humanitaire comprennent Ménaka, qui compte 74 216 déplacés, Mopti, qui compte 65 240 et Gao, qui compte 54 021, soit plus de la moitié des déplacés.
Selon le rapport, 58 % des personnes déplacées sont des femmes et 58 % de cette population vulnérable est composée d'enfants de moins de 18 ans.
Malgré les aides, la nourriture reste la priorité pour 95 % des sites, suivie des abris, de l'eau potable et des soins médicaux. Le paludisme et la diarrhée sont toujours présents dans ces zones où les conditions sanitaires demeurent fragiles.
Le rapport a été élaboré entre juin et septembre 2024 dans 132 sites principalement situés dans les régions du Nord et du Centre du pays, mettant en évidence une situation critique qui requiert une action rapide et coordonnée.
Le rapport a été élaboré entre juin et septembre 2024 dans 132 sites principalement situés dans les régions du Nord et du Centre du pays, mettant en évidence une situation critique qui requiert une action rapide et coordonnée.
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