Un tour rapide sur les principales avenues et marchés de Ndjamena permet de constater que les échoppes et boutiques commençaient à ouvrir en ces premières heures de la matinée. Certains commerçants étaient, en effet, en train de préparer leurs étals.
Les banques, les stations-service, les alimentations ont aussi ouvert. Sur les principales avenues, des véhicules et des motocyclettes circulent, mais il n’y a pas de bouchons comme cela est le cas habituellement aux premières heures de la matinée.
Assis devant chez lui, un fonctionnaire lance sous forme de boutade : « Mais quelle ville morte vous cherchez à observer, du moment où les hôpitaux et écoles sont fermés depuis sept semaines ? Ceux qui circulent, ce sont ceux qui ont des impératifs de survie ».
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