Selon plusieurs sources sécuritaires, cités par RFI, ce sont des revendications d'ordre financier qui sont à l'origine de ce mouvement d'une partie des éléments des forces spéciales, des soldats d'élite formés dans le cadre de la lutte antiterroriste.
Des primes impayées sous l'ex-président Kaboré auraient été versées, mais les nouveaux éléments de ces forces d'élite ne les auraient pas reçus. Ces derniers « se sont levés », selon une source proche du pouvoir, contactée par le correspondant de RFI sur place.
L'application de certains textes adoptés sous le régime du président Kaboré serait aussi en discussion, précise cette source.
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