Le président nigérian Muhammadu Buhari reconnait dans une série de tweet que les 110 filles portées disparues après l'attaque de leur école à Dapchi, dans l'Etat de Yobe, ont été enlevées par des éléments de la secte Boko Haram.
Ces tweets ont été postés une semaine après la disparition des 110 élèves dans le nord-est du Nigeria.
"Le gouvernement reste aux côtés de celles qui ont été enlevées", a déclaré Muhammadu Buhari devant une audience composée d'une délégation d'anciens otages de Boko Haram, libérés au début du mois.
Le président nigérian avait demandé la semaine dernière à plusieurs ministres de son gouvernement de se rendre dans le nord-est du pays pour une mission d'enquête, après l'enlèvement.
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