
Pour une atmosphère paisible avant, pendant et après les élections présidentielles.
La réunion a donné l'occasion d'informer les participants sur la législation électorale au Gabon, le processus de vote, les fonctions et les obligations des intervenants sociaux pour une élection présidentielle sereine, y compris l'importance de leur rôle en tant qu'ambassadeurs de paix et promoteurs de la non-violence. « L'exemple du Gabon doit démontrer que les élections en Afrique ne doivent plus susciter peurs, incertitudes, tensions et davantage de violences », a mis l'accent le dirigeant de l'UNOCA dans son allocution appropriée. « Dans ce contexte de pessimisme général et durable, nous devons raviver l'espoir parmi les populations africaines en prouvant que l'élection n'est pas seulement un événement heureux dans la vie publique qui ne devrait pas se réduire à une cérémonie brutale et sinistre où l'on attend de dénombrer les victimes ou de mesurer le gouffre qui sépare les filles des fils d'une même patrie », a-t-il ajouté, appelant à instaurer un climat pacifique au Gabon avant, pendant et après les élections présidentielles.
Intensifier la communication avec tous les acteurs impliqués dans le processus électoral.
De même, Luc G. Gnonlonfoun, le Représentant résident du PNUD, a souligné qu'en plus de « l'appropriation des opérations de vote dans la non-violence », il est essentiel d'admettre que les élections représentent « une phase déterminante dans la vie démocratique d'une nation et doivent être fêtées avec joie et unité nationale ».Le Directeur de l'UNOCA a exhorté les femmes médiatrices et les représentants religieux (chrétiens, musulmans, catholiques et animistes) à œuvrer dans cette direction, en particulier en intensifiant « le dialogue avec tous les acteurs concernés par le processus électoral afin de favoriser l'éducation civique et d'établir un environnement serein propice à la bonne organisation du scrutin présidentiel » prévu pour le 12 avril, qui verra la participation de huit candidats, y compris une femme.
De même, Luc G. Gnonlonfoun, le Représentant résident du PNUD, a souligné qu'en plus de « l'appropriation des opérations de vote dans la non-violence », il est essentiel d'admettre que les élections représentent « une phase déterminante dans la vie démocratique d'une nation et doivent être fêtées avec joie et unité nationale ».Le Directeur de l'UNOCA a exhorté les femmes médiatrices et les représentants religieux (chrétiens, musulmans, catholiques et animistes) à œuvrer dans cette direction, en particulier en intensifiant « le dialogue avec tous les acteurs concernés par le processus électoral afin de favoriser l'éducation civique et d'établir un environnement serein propice à la bonne organisation du scrutin présidentiel » prévu pour le 12 avril, qui verra la participation de huit candidats, y compris une femme.
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