Sa nomination a été annoncée officiellement par Jean-Claude Kassi Brou, président de la commission. A la tête de la délégation, Goodluck Jonathan a à ses côtés le ministre des Affaires étrangères du Niger, Kalla Ankourao, du général Francis Awagbè Gbéhanzin, commissaire en charge des affaires politiques et du président de la Commission de la Cedeao.
Arrivée à Bamako le mercredi 15 juillet 2020, dans le cadre de la facilitation du dialogue entre les parties prenantes à la crise politique, cette mission «a rencontré notamment l'imam Dicko, personnalité incontournable au sein du M5, le mouvement de contestation qui annonce qu'il annule le rassemblement de demain, un rassemblement de recueillement pour les 11 victimes du week-end dernier», rapportait hier le confrère RFI.
La mission intervient après les violences manifestations du vendredi 10 juillet, qui ont fait onze morts et plus d’une centaine de blessés, avaient indiqué officiellement le gouvernement. «Les questions de gouvernance, les revendications politiques de l’opposition et plus globalement, la future architecture gouvernementale pour le Mali sont à l’agenda de la délégation», croit savoir la radio française RFI.
Le rôle majeur donc que doit jouer Mahamudu Buhari, au cours de cette de mission, c’est d’assurer la médiation entre le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, les membres de l'opposition, les acteurs de la société civile ainsi que bien d'autres organisations parties prenantes de la crise.
Le nœud de la crise qui secoue actuellement le Mali tient, entre autre, au point des députés maliens recalés au cours des dernières élections législatives, en avril 2020. En effet, sur un total de 147 députés de l’Assemblée nationale, 30 députés se disent « victimes » de la Cour constitutionnelle. «Les députés recalés, qui s’estiment victimes de la Cour, vont être reçus et auront un quart d’heure de parole. L’idée, d’après nos sources, est de voir comment les remettre dans leurs droits sans tout bouleverser», fait savoir RFI
Arrivée à Bamako le mercredi 15 juillet 2020, dans le cadre de la facilitation du dialogue entre les parties prenantes à la crise politique, cette mission «a rencontré notamment l'imam Dicko, personnalité incontournable au sein du M5, le mouvement de contestation qui annonce qu'il annule le rassemblement de demain, un rassemblement de recueillement pour les 11 victimes du week-end dernier», rapportait hier le confrère RFI.
La mission intervient après les violences manifestations du vendredi 10 juillet, qui ont fait onze morts et plus d’une centaine de blessés, avaient indiqué officiellement le gouvernement. «Les questions de gouvernance, les revendications politiques de l’opposition et plus globalement, la future architecture gouvernementale pour le Mali sont à l’agenda de la délégation», croit savoir la radio française RFI.
Le rôle majeur donc que doit jouer Mahamudu Buhari, au cours de cette de mission, c’est d’assurer la médiation entre le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, les membres de l'opposition, les acteurs de la société civile ainsi que bien d'autres organisations parties prenantes de la crise.
Le nœud de la crise qui secoue actuellement le Mali tient, entre autre, au point des députés maliens recalés au cours des dernières élections législatives, en avril 2020. En effet, sur un total de 147 députés de l’Assemblée nationale, 30 députés se disent « victimes » de la Cour constitutionnelle. «Les députés recalés, qui s’estiment victimes de la Cour, vont être reçus et auront un quart d’heure de parole. L’idée, d’après nos sources, est de voir comment les remettre dans leurs droits sans tout bouleverser», fait savoir RFI
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