Dans un communiqué publié, ces mouvements armés estiment que ce projet de Constitution ne prend pas en compte les dispositions de l’Accord de paix d’Alger signé en 2015.
Le porte-parole de ces mouvements, Mohamed Elmaouloud Ramadane s’appuie sur l’exemple de « l’article 6 qui stipule que le président de la région doit être élu au suffrage universel direct et il est le président de l’exécutif ».
Auparavant, des partis politiques et une association de religieux ont exprimé leur opposition à ce projet de nouvelle constitution.
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