Au Mali, dans le cadre du processus « DDR », désarmement, démobilisation et réinsertion, un peu plus d'un millier de combattants, proche de Bamako et de l'ex-rébellion, ont déjà déposé leurs armes dans trois localités du nord du Mali (Tombouctou, Gao et Kidal). Mais près de 200 autres combattants, issus de groupes non-signataires de l'accord pour la paix, rongent leur frein à l'entrée de Kidal. Les ex-rebelles qui contrôlent la ville refusent, pour le moment, de leur donner le feu vert. La mission de l'ONU au Mali n'approuve pas.
L’ex-rébellion, qui contrôle toujours la ville de Kidal, refuse pour le moment de les recevoir. Et les presque 200 combattants des mouvements armés non-signataires de l’accord de paix, mais intégrés dans le processus de désarmement, ont été obligé de rebrousser chemin. Ils attendent qu’une solution soit trouvée.
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