Tout est parti d’une rumeur signalant la présence de téléphones dans une salle d’examen dès le premier jour des épreuves. Une palpation systématique a alors été ordonnée, rapporte Les Échos.
D'après la même source, le premier candidat, M. L. S., 26 ans, paniqué, a sorti de lui-même un téléphone connecté à une application fournissant des corrigés. Peu après, un second candidat, M. D., 23 ans, a été surpris avec son téléphone «planqué dans son slip». L'appareil était aussi relié à la même application.
Remis à la police, les deux candidats ont été déférés au parquet du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye. En plus de poursuites pénales, ils risquent une interdiction de repasser le baccalauréat pendant cinq ans s’ils sont reconnus coupables, indique le quotidien d'information.
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