Nos confrères du Quotidien Sahel rapportent qu’ : « il y a de cela quelques jours, avec la descente du général accompagné des techniciens pour effectuer de relever GPS du terrain de 40 hectares. », les villageois à leur tête, le chef de ce village, disent être victimes d’expropriation forcée de leur parcelle qui englobe aussi leurs champs.
Des acteurs de la société civile déplorent les meurtres consécutifs liés aux problèmes de litiges fonciers sur l’ensemble du territoire. Cette fois c’est une autorité municipale qui laisse la vie pour les mêmes causes.
Bien que la ville soit actuellement cernée par des éléments du Groupement Mobile d’intervention de la police nationale (GMIP), et des gendarmes, l’on signale des velléités de vengeance qui bouillonnent de part et d’autre.
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