D’un coût de réalisation de 5 millions d’euros, cette usine déjà en activité transforme par an 7700 tonnes de mangues, d’ananas, de noix de coco et de banane en 800 tonnes de fruits secs de première qualité, dont 400 tonnes sont de qualité biologiques.
Elle permet d’assurer aux clients de HPW en Suisse et dans toute l’Europe (Allemagne, Italie, Suède, Pays Bas…) des produits de qualité.
Marquant sa satisfaction, le ministre Essis Emmanuel a indiqué que l’implantation de l’usine de HPW cadre avec la volonté du gouvernement de faire de l’agro-industrie l’un des moteurs de la transformation structurelle de l’économie nationale. « Le développement des capacités agro-industrielles s’inscrit dans le cadre de la stratégie gouvernementale visant à promouvoir la transformation des matières premières locales et ainsi, à renforcer la contribution du secteur agro-industriel au PIB », a expliqué le ministre.
« On ne peut qu’encourager ce type d’investissement », a ajouté Essis Esmel Emmanuel. Puis il est revenu sur les facilités qu’offre le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI) qui travaille sous sa coupole et qui dispose d’outils de facilitation de l’investissement privé dont les promoteurs de l’usine d’Assé ont pu bénéficier.
Pour sa part, l’ambassadeur de la Suisse en Côte d’Ivoire, Anne Lugon-Moulin, a salué la qualité des liens qui existent entre les deux pays et dont le 60e anniversaire sera célébré cette année. Pour elle, l’installation de l’usine à Bonoua traduit l’engagement de la Suisse à accompagner le développement de la Côte d’Ivoire dans tous les secteurs.
« Aujourd’hui, la Suisse est fière que de nombreuses entreprises helvétiques – plusieurs dizaines en effet - soient présentes en Côte d’Ivoire, et qu’elles couvrent plusieurs secteurs d’activités, démontrant ainsi la diversité de l’économie helvétique et son dynamisme », a déclaré la diplomate suisse, soulignant que son pays est l’un des principaux investisseurs en Côte d’Ivoire. La Suisse figure en effet dans le top 5 des pays investisseurs bilatéraux en Côte d’Ivoire. Le volume des échanges annuels est estimé à 500 milliards d’euros et les emplois créés à plusieurs milliers.
Justement, le président du conseil d’administration de HPW Fresh & Dry, Hans Peters Werder et le directeur général de la filiale ivoirienne, Otmar Hofer, a indiqué que l’usine a généré 450 emplois directs et représente une importante source de revenus pour un grand nombre d’agriculteurs. Aussi cette unité de transformation représente-t-elle une opportunité de transfert de la technologie, avec les formations dont bénéficient les personnels. Dans l’espoir que dans les prochaines années, ce sont des nationaux qui dirigeront entièrement l’entreprise. Déjà l’entreprise prépare son expansion en Côte avec la construction d’une deuxième usine dans le nord du pays.
Elle permet d’assurer aux clients de HPW en Suisse et dans toute l’Europe (Allemagne, Italie, Suède, Pays Bas…) des produits de qualité.
Marquant sa satisfaction, le ministre Essis Emmanuel a indiqué que l’implantation de l’usine de HPW cadre avec la volonté du gouvernement de faire de l’agro-industrie l’un des moteurs de la transformation structurelle de l’économie nationale. « Le développement des capacités agro-industrielles s’inscrit dans le cadre de la stratégie gouvernementale visant à promouvoir la transformation des matières premières locales et ainsi, à renforcer la contribution du secteur agro-industriel au PIB », a expliqué le ministre.
« On ne peut qu’encourager ce type d’investissement », a ajouté Essis Esmel Emmanuel. Puis il est revenu sur les facilités qu’offre le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI) qui travaille sous sa coupole et qui dispose d’outils de facilitation de l’investissement privé dont les promoteurs de l’usine d’Assé ont pu bénéficier.
Pour sa part, l’ambassadeur de la Suisse en Côte d’Ivoire, Anne Lugon-Moulin, a salué la qualité des liens qui existent entre les deux pays et dont le 60e anniversaire sera célébré cette année. Pour elle, l’installation de l’usine à Bonoua traduit l’engagement de la Suisse à accompagner le développement de la Côte d’Ivoire dans tous les secteurs.
« Aujourd’hui, la Suisse est fière que de nombreuses entreprises helvétiques – plusieurs dizaines en effet - soient présentes en Côte d’Ivoire, et qu’elles couvrent plusieurs secteurs d’activités, démontrant ainsi la diversité de l’économie helvétique et son dynamisme », a déclaré la diplomate suisse, soulignant que son pays est l’un des principaux investisseurs en Côte d’Ivoire. La Suisse figure en effet dans le top 5 des pays investisseurs bilatéraux en Côte d’Ivoire. Le volume des échanges annuels est estimé à 500 milliards d’euros et les emplois créés à plusieurs milliers.
Justement, le président du conseil d’administration de HPW Fresh & Dry, Hans Peters Werder et le directeur général de la filiale ivoirienne, Otmar Hofer, a indiqué que l’usine a généré 450 emplois directs et représente une importante source de revenus pour un grand nombre d’agriculteurs. Aussi cette unité de transformation représente-t-elle une opportunité de transfert de la technologie, avec les formations dont bénéficient les personnels. Dans l’espoir que dans les prochaines années, ce sont des nationaux qui dirigeront entièrement l’entreprise. Déjà l’entreprise prépare son expansion en Côte avec la construction d’une deuxième usine dans le nord du pays.
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