Le ministre Laurent Tchagba a précisé que cette seconde phase de l’ICF devrait permettre de renforcer les acquis de la phase précédente mais également à accroître l’impact des actions initiées.
Elle sera axée sur des actions concrètes à conduire dans six paysages forestiers, dont les paysages centrés autour de la forêt classée de Yapo-Abbé, de Tamin, la réserve naturelle de Bossématié, de Mabi Yaya, du Cavally, le parc national de Mont Péko.
Le projet aura pour piliers, la protection et la restauration des forêts, la production durable du cacao et la promotion de l'agroforesterie et l'inclusion sociale.
Par ailleurs, un accent particulier sera mis sur l’opérationnalisation du système national unifié de traçabilité du cacao et du système national de surveillance des forêts et d’alerte précoce de la déforestation.
Selon le premier responsable des Eaux et Forêts, tous ces instruments sont nécessaires à la satisfaction des exigences du futur règlement de l’Union Européenne sur la déforestation importée.
Pour la réussite du projet, le membre du gouvernement ivoirien a lancé un appel à l’endroit de tous les partenaires, notamment du secteur privé et des bailleurs de fonds, à plus d’engagements pour des actions collectives permettant d’assurer la gestion durable de ces paysages prioritaires pour l’ICF.
Aussi a-t-il invité les partenaires techniques et financiers à se mettre aux côtés du gouvernement en vue de promouvoir une économie cacaoyère durable, respectueuse de l’environnement et qui préserve le patrimoine forestier, à travers la mise en œuvre réussie du plan d’action 2022-2025 de l’ICF.
Au cours de cet évènement, le bilan de la phase I de l'initiative a été présenté au public et aux partenaires techniques et financiers (déjà engagés et à venir) notamment l’état d’avancement des projets de partenariats multi-acteurs pour la gestion durable des paysages autour de la forêt classée de Yapo-Abbé et de la réserve naturelle de Bossématié.
La phase pilote s’est déroulée de 2018 à 2021. Elle était focalisée sur la sensibilisation et les résultats majeurs suivants ont été obtenus le renforcement de la cartographie de la chaîne d’approvisionnement du cacao, la promotion de l’agroforesterie, le développement d’un système national unifié de traçabilité du cacao et l’adoption d’un système satellitaire de surveillance des forêts dans le cadre de l’ICF.
Ces avancées notables ont galvanisé les signataires de l’ICF à entreprendre davantage d’actions dans les zones prioritaires sélectionnées en vue de renforcer la préservation et la réhabilitation de la forêt ivoirienne.
Cet événement a vu la participation de plusieurs personnalités notamment le Vice-Ministre des terres et des ressources naturelles du Ghana, Benito Owusu-Bio, des Directeurs des organisations WCF et IDH, les représentants de la Chambre Sénatoriale de Côte d'Ivoire, la Représentante de la Grande Bretagne, ainsi que des bailleurs.
Elle sera axée sur des actions concrètes à conduire dans six paysages forestiers, dont les paysages centrés autour de la forêt classée de Yapo-Abbé, de Tamin, la réserve naturelle de Bossématié, de Mabi Yaya, du Cavally, le parc national de Mont Péko.
Le projet aura pour piliers, la protection et la restauration des forêts, la production durable du cacao et la promotion de l'agroforesterie et l'inclusion sociale.
Par ailleurs, un accent particulier sera mis sur l’opérationnalisation du système national unifié de traçabilité du cacao et du système national de surveillance des forêts et d’alerte précoce de la déforestation.
Selon le premier responsable des Eaux et Forêts, tous ces instruments sont nécessaires à la satisfaction des exigences du futur règlement de l’Union Européenne sur la déforestation importée.
Pour la réussite du projet, le membre du gouvernement ivoirien a lancé un appel à l’endroit de tous les partenaires, notamment du secteur privé et des bailleurs de fonds, à plus d’engagements pour des actions collectives permettant d’assurer la gestion durable de ces paysages prioritaires pour l’ICF.
Aussi a-t-il invité les partenaires techniques et financiers à se mettre aux côtés du gouvernement en vue de promouvoir une économie cacaoyère durable, respectueuse de l’environnement et qui préserve le patrimoine forestier, à travers la mise en œuvre réussie du plan d’action 2022-2025 de l’ICF.
Au cours de cet évènement, le bilan de la phase I de l'initiative a été présenté au public et aux partenaires techniques et financiers (déjà engagés et à venir) notamment l’état d’avancement des projets de partenariats multi-acteurs pour la gestion durable des paysages autour de la forêt classée de Yapo-Abbé et de la réserve naturelle de Bossématié.
La phase pilote s’est déroulée de 2018 à 2021. Elle était focalisée sur la sensibilisation et les résultats majeurs suivants ont été obtenus le renforcement de la cartographie de la chaîne d’approvisionnement du cacao, la promotion de l’agroforesterie, le développement d’un système national unifié de traçabilité du cacao et l’adoption d’un système satellitaire de surveillance des forêts dans le cadre de l’ICF.
Ces avancées notables ont galvanisé les signataires de l’ICF à entreprendre davantage d’actions dans les zones prioritaires sélectionnées en vue de renforcer la préservation et la réhabilitation de la forêt ivoirienne.
Cet événement a vu la participation de plusieurs personnalités notamment le Vice-Ministre des terres et des ressources naturelles du Ghana, Benito Owusu-Bio, des Directeurs des organisations WCF et IDH, les représentants de la Chambre Sénatoriale de Côte d'Ivoire, la Représentante de la Grande Bretagne, ainsi que des bailleurs.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article