La cérémonie de remise de matériel aux bénéficiaires d'activités génératrices de revenus (Agr) dans le cadre du projet Waca a eu lieu le 13 avril 2024, à la mairie de Grand-Lahou.
Lutter contre l’érosion côtière tout en améliorant les conditions socio-économiques des populations du département de Grand-Lahou et surtout des villages impactés (Likpiliassié, Groguida, Lahou-Kpanda et Braffédon). C’est ce à quoi répond la mission que s’est assignée le Projet d’investissement pour la résilience des zones côtières ouest-africaines (Waca-ResIP) au profit des communautés locales.
Ces appuis, au dire de Yéo Napari, directeur de cabinet adjoint du ministre de l’Environnement, du Développement durable et de la Transition écologique (Mineddte), vont permettre aux bénéficiaires de développer leurs activités dans le maraîcher, la pêche, la transformation et la vente de l’attiéké, la coiffure, etc.
L’enjeu de ce sous-programme Waca est essentiellement d’améliorer les conditions de vie des communautés dont l’habitat est menacé par l’érosion côtière, en les aidant à mener des activités génératrices de revenus (Agr).
Le représentant du ministre Jacques Konan Assahoré a fait savoir que la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs pays de la côte atlantique ouest-africaine, est confrontée à l’érosion. « Le changement climatique, la déforestation et la perte de la biodiversité menacent notre planète et notre bien-être. Cependant, je reste convaincu que c'est précisément dans de tels défis que résident nos plus grandes opportunités. En investissant dans des pratiques respectueuses de l'environnement et en soutenant nos communautés, nous pouvons forger un avenir plus durable et équitable pour tous », a indiqué le directeur de cabinet adjoint du Mineddte.
Jean-Baptiste Kassi, coordonnateur du Waca, a, à son tour, insisté sur l’objectif principal du projet qui est de renforcer la résilience des communautés et des zones ciblées de la côte ouest-africaine contre l’érosion côtière, les inondations et les pollutions.
« Au plan environnemental et social, le projet Waca-ResIP a été classé en catégorie ‘‘A’’ selon les politiques de sauvegarde de la Banque mondiale en raison de ses impacts environnementaux et sociaux potentiels et de la sensibilité de son milieu d’accueil », a-t-il confié.
Avant d’ajouter qu’au terme du processus de sélection, ce sont 259 Agr individuels et 149 Agr collectifs qui ont été retenus pour bénéficier d’un financement du projet Waca. C’est à ce titre que du matériel et un outillage ont été acquis en février 2024 pour permettre aux différents bénéficiaires de développer leurs activités.
C’est aussi dans cet objectif qu’a eu lieu le 13 avril 2024, à la mairie de Grand-Lahou, une cérémonie de remise de matériel aux porteurs de projets générateurs de revenus. 1219 personnes dont 512 hommes (42,4%) et 702 femmes (57,6%) ont reçu, à cet effet, des équipements d’un montant global de 605 885 129 FCfa.
Ces appuis, au dire de Yéo Napari, directeur de cabinet adjoint du ministre de l’Environnement, du Développement durable et de la Transition écologique (Mineddte), vont permettre aux bénéficiaires de développer leurs activités dans le maraîcher, la pêche, la transformation et la vente de l’attiéké, la coiffure, etc.
L’enjeu de ce sous-programme Waca est essentiellement d’améliorer les conditions de vie des communautés dont l’habitat est menacé par l’érosion côtière, en les aidant à mener des activités génératrices de revenus (Agr).
Le représentant du ministre Jacques Konan Assahoré a fait savoir que la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs pays de la côte atlantique ouest-africaine, est confrontée à l’érosion. « Le changement climatique, la déforestation et la perte de la biodiversité menacent notre planète et notre bien-être. Cependant, je reste convaincu que c'est précisément dans de tels défis que résident nos plus grandes opportunités. En investissant dans des pratiques respectueuses de l'environnement et en soutenant nos communautés, nous pouvons forger un avenir plus durable et équitable pour tous », a indiqué le directeur de cabinet adjoint du Mineddte.
Jean-Baptiste Kassi, coordonnateur du Waca, a, à son tour, insisté sur l’objectif principal du projet qui est de renforcer la résilience des communautés et des zones ciblées de la côte ouest-africaine contre l’érosion côtière, les inondations et les pollutions.
« Au plan environnemental et social, le projet Waca-ResIP a été classé en catégorie ‘‘A’’ selon les politiques de sauvegarde de la Banque mondiale en raison de ses impacts environnementaux et sociaux potentiels et de la sensibilité de son milieu d’accueil », a-t-il confié.
Avant d’ajouter qu’au terme du processus de sélection, ce sont 259 Agr individuels et 149 Agr collectifs qui ont été retenus pour bénéficier d’un financement du projet Waca. C’est à ce titre que du matériel et un outillage ont été acquis en février 2024 pour permettre aux différents bénéficiaires de développer leurs activités.
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