Ce résultat est à mettre à l’actif du gouvernement qui a mis en place un organe de régulation, le Conseil hévéa palmier à huile (Chph), afin d’améliorer la productivité et la compétitivité de cette filière dans le pays.
Depuis sa mise en place, le Chph, avec à sa tête le directeur général, Edmond Coulibaly, a mené plusieurs actions sur le terrain, permettant ainsi une pleine mutation et un développement considérable de la culture de l’hévéa.
En effet, sur les 13,9 millions de tonnes de caoutchouc produits en 2023 sur le plan mondial, la Côte d’Ivoire a fourni plus de 1, 6 tonne, soit 12 % de la production mondiale. Le pays est le premier producteur africain avec 80 % de la production du continent. Rappelons qu’il était auparavant 4e producteur mondial de cette spéculation. Le pays transforme 55 % de sa récolte de latex.
Des facilités fiscales aux investisseurs
Le prochain défi de la Côte d’Ivoire dans ce secteur est de porter son taux de transformation primaire à 100 %, afin d’absorber l’essentiel de la production.
Pour y arriver, les autorités ont mis en place des facilités fiscales pour les investisseurs. C’est-à-dire des exonérations sur les équipements importés et des crédits d’impôts. Plusieurs unités de transformation sont annoncées dans les zones de production.
Dans une démarche participative, avec l’ensemble de la chaîne de valeur de la filière, avec à sa tête l’Association des professionnels du caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire (Apromac), le Chph a procédé à la promotion de l’industrie du caoutchouc en Côte d’Ivoire, depuis quelques années. Faisant d’elle le 1er pays transformateur de caoutchouc naturel en Afrique.
Par ailleurs, en vue d’assurer la traçabilité des opérations avec un circuit précis, d’augmenter le revenu des planteurs et de répondre aux nouvelles normes de l’Union européenne, le gouvernement a mis en place de nouveaux outils de commercialisation ayant pour objectif, entre autres, d’identifier les intervenants de la chaîne de valeur.
Entre autres dispositions pour rendre la filière hévéicole durable et rentable, la mise en place prochaine du système de zonage qui permettra d’attribuer des zones exclusives d’intervention à chacune des sociétés de transformation sur la base d’une convention de concession et d’un cahier des charges.
La culture de l’hévéa occupe une place importante dans le secteur agricole ivoirien, moteur du développement économique du pays, car il contribue largement aux recettes d’exportation et à la réduction de la pauvreté en zone rurale. La filière compte plus de 150 000 producteurs, plus de 40 000 saigneurs et fait vivre 1,2 million de personnes sur 600 000 hectares.
Depuis sa mise en place, le Chph, avec à sa tête le directeur général, Edmond Coulibaly, a mené plusieurs actions sur le terrain, permettant ainsi une pleine mutation et un développement considérable de la culture de l’hévéa.
En effet, sur les 13,9 millions de tonnes de caoutchouc produits en 2023 sur le plan mondial, la Côte d’Ivoire a fourni plus de 1, 6 tonne, soit 12 % de la production mondiale. Le pays est le premier producteur africain avec 80 % de la production du continent. Rappelons qu’il était auparavant 4e producteur mondial de cette spéculation. Le pays transforme 55 % de sa récolte de latex.
Des facilités fiscales aux investisseurs
Le prochain défi de la Côte d’Ivoire dans ce secteur est de porter son taux de transformation primaire à 100 %, afin d’absorber l’essentiel de la production.
Pour y arriver, les autorités ont mis en place des facilités fiscales pour les investisseurs. C’est-à-dire des exonérations sur les équipements importés et des crédits d’impôts. Plusieurs unités de transformation sont annoncées dans les zones de production.
Dans une démarche participative, avec l’ensemble de la chaîne de valeur de la filière, avec à sa tête l’Association des professionnels du caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire (Apromac), le Chph a procédé à la promotion de l’industrie du caoutchouc en Côte d’Ivoire, depuis quelques années. Faisant d’elle le 1er pays transformateur de caoutchouc naturel en Afrique.
Par ailleurs, en vue d’assurer la traçabilité des opérations avec un circuit précis, d’augmenter le revenu des planteurs et de répondre aux nouvelles normes de l’Union européenne, le gouvernement a mis en place de nouveaux outils de commercialisation ayant pour objectif, entre autres, d’identifier les intervenants de la chaîne de valeur.
Entre autres dispositions pour rendre la filière hévéicole durable et rentable, la mise en place prochaine du système de zonage qui permettra d’attribuer des zones exclusives d’intervention à chacune des sociétés de transformation sur la base d’une convention de concession et d’un cahier des charges.
La culture de l’hévéa occupe une place importante dans le secteur agricole ivoirien, moteur du développement économique du pays, car il contribue largement aux recettes d’exportation et à la réduction de la pauvreté en zone rurale. La filière compte plus de 150 000 producteurs, plus de 40 000 saigneurs et fait vivre 1,2 million de personnes sur 600 000 hectares.
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