Dans sa vision de rendre la filière plus forte afin de conforter la place de la Côte d’Ivoire (4e mondial), il s’est doté d’un plan de travail pour les années à venir.
Dans son programme figure en bonne place, la réalisation de 100 000 ha d’hévéas d’ici à 2027. A ajouter au 700 000 ha existants.
«Si l’on n’y prend garde, en 2027, nous allons perdre notre rang de 4e sur le plan mondial. Pour ne pas en arriver là, nous allons faire en sorte qu’on puisse planter près de 100 000 ha d’hévéas d’ici 2027. Nous, la fédération, allons inciter les planteurs à le faire », a-t-il indiqué.
«Si l’on n’y prend garde, en 2027, nous allons perdre notre rang de 4e sur le plan mondial. Pour ne pas en arriver là, nous allons faire en sorte qu’on puisse planter près de 100 000 ha d’hévéas d’ici 2027. Nous, la fédération, allons inciter les planteurs à le faire », a-t-il indiqué.
Pour démontrer sa volonté d’aller loin dans cette vision, il a mentionné qu’il va poursuivre ce qu’a commencé son prédécesseur, c’est-à-dire, doter tout planteur d’un certificat foncier. Car, selon lui, ledit certificat est l’acte qui atteste la propriété de la plantation. « Nous sommes autour de 2000 planteurs, et environ 1000 planteurs disposent de titres fonciers. Nous allons relancer cette opération », a-t-il insisté.
Comme défi, il a également pour ambition de créer avec l’Apromac des écoles de saigneurs. « Nous avons besoin entre 50 et 60 000 saigneurs en Côte d’Ivoire. C’est un métier. Et je vais inviter les planteurs à faire en sorte que les saigneurs soient déclarés à la Cnps. Aussi, il annonce qu’ il va rendre les planteurs semi-industriels. Pour lui, pas question que la filière hévéa et ses acteurs soient à la traîne .
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