« Les résultats des analyses des échantillons de ce riz effectuées par un laboratoire accrédité et agréé dans le cadre du programme de Vérification de conformité des marchandises à destination de la Côte d’Ivoire (VOC), sont non-conformes à la norme ivoirienne », écrit le ministre dans un communiqué dont APA a obtenu copie samedi.
En conséquence et conformément aux dispositions de l’article 17 de la loi du 15 juin 2016 relative à la répression des fraudes et des falsifications en matière de vente des biens ou services, « il est procédé à la saisie réelle et la mise sous scellés de ces 18 000 tonnes de riz birman et au déclenchement de la procédure de destruction » , ajoute M. Diarrassouba.
Cette importante quantité de riz appartiendrait à un opérateur économique guinéen, selon plusieurs sources proches du dossier.
L’Etat ivoirien a mis en place depuis le 15 février 2019, un dispositif de contrôle de conformité pour la protection des consommateurs, rappelle-t-on.
Economie
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