Le ministre des Ressources animales et halieutiques, Sidi Tiémoko Touré, était le 19 mai 2022, l’invité du petit-déjeuner de l’Unjci à la Maison de la presse, à Abidjan-Plateau.
« Élevage : Option viable pour l’insertion des jeunes ». Telle est la vision du ministre des Ressources animales et halieutiques, Sidi Tiémoko Touré.
Au cours d’un petit-déjeuner organisé le jeudi 19 mai 2022, par l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), à la Maison de la presse, à Abidjan-Plateau, le ministre a affirmé que la politique nationale de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (Ponadepa 2022-2026) va permettre d’améliorer la production nationale dans les différentes filières du secteur de plus de 65 % des besoins de consommation des populations en produits animaux et halieutiques en 2026 contre 26,7% en 2019.
Cela va réduire substantiellement les importations en produits animaux et halieutiques et la sortie de devises de plus de 400 milliards de FCfa. Bien plus, cette politique va favoriser la création de plus de 700 000 emplois directs et 1 500 000 emplois indirects.
Lors des échanges, Sidi Touré a fait savoir que la production animale, la pêche et l’aquaculture, en tant qu’activités génératrices de revenus, s’inscrivent dans la même dynamique que celle d’aider les hommes et les femmes à la création d’emplois décents et durables pour ne pas s’enliser dans le cycle vicieux de la paupérisation.
Ressources animales et halieutiques: "prochains café-cacao" de la Côte d'Ivoire
Se prononçant sur le thème de la conférence, « L’autosuffisance en protéines animales et halieutiques de qualité face aux défis de l’employabilité de la jeunesse ? », Sidi Tiémoko Touré a relevé que le rôle du secteur des ressources animales et halieutiques dans la lutte contre la pauvreté et la faim n’est plus à démontrer.
Le potentiel productif du capital animal et halieutique intervient directement dans le processus de transformation socioéconomique et entre dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations.
Pour lui, les ressources animales et halieutiques sont « les prochains café-cacao » de la Côte d’Ivoire. Il a ainsi invité les hommes d’affaires à investir massivement dans le secteur, afin de combler le gap. « L’avenir se trouve dans les faîtières halieutiques et animales », a-t-il défendu.
Faut-il le rappeler, la Côte d’Ivoire a un besoin annuel en protéines animales et halieutiques de 600 000 tonnes. Or la production ivoirienne est de 5000 tonnes. Le président de l’Unjci, Jean-Claude Coulibaly, s’est satisfait de cette conférence qui fait référence à l’employabilité des jeunes.
Au cours d’un petit-déjeuner organisé le jeudi 19 mai 2022, par l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), à la Maison de la presse, à Abidjan-Plateau, le ministre a affirmé que la politique nationale de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (Ponadepa 2022-2026) va permettre d’améliorer la production nationale dans les différentes filières du secteur de plus de 65 % des besoins de consommation des populations en produits animaux et halieutiques en 2026 contre 26,7% en 2019.
Cela va réduire substantiellement les importations en produits animaux et halieutiques et la sortie de devises de plus de 400 milliards de FCfa. Bien plus, cette politique va favoriser la création de plus de 700 000 emplois directs et 1 500 000 emplois indirects.
Lors des échanges, Sidi Touré a fait savoir que la production animale, la pêche et l’aquaculture, en tant qu’activités génératrices de revenus, s’inscrivent dans la même dynamique que celle d’aider les hommes et les femmes à la création d’emplois décents et durables pour ne pas s’enliser dans le cycle vicieux de la paupérisation.
Ressources animales et halieutiques: "prochains café-cacao" de la Côte d'Ivoire
Se prononçant sur le thème de la conférence, « L’autosuffisance en protéines animales et halieutiques de qualité face aux défis de l’employabilité de la jeunesse ? », Sidi Tiémoko Touré a relevé que le rôle du secteur des ressources animales et halieutiques dans la lutte contre la pauvreté et la faim n’est plus à démontrer.
Le potentiel productif du capital animal et halieutique intervient directement dans le processus de transformation socioéconomique et entre dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations.
Pour lui, les ressources animales et halieutiques sont « les prochains café-cacao » de la Côte d’Ivoire. Il a ainsi invité les hommes d’affaires à investir massivement dans le secteur, afin de combler le gap. « L’avenir se trouve dans les faîtières halieutiques et animales », a-t-il défendu.
Faut-il le rappeler, la Côte d’Ivoire a un besoin annuel en protéines animales et halieutiques de 600 000 tonnes. Or la production ivoirienne est de 5000 tonnes. Le président de l’Unjci, Jean-Claude Coulibaly, s’est satisfait de cette conférence qui fait référence à l’employabilité des jeunes.
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