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Faits Divers

Cette tribu africaine était experte en matière d’agrandissement du pén!s avant la chirurgie plastique

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Cette tribu africaine était experte en matière d’agrandissement du pén!s avant la chirurgie plastique

Bien avant l’introduction des procédures et des produits d’agrandissement du pén!s, les Batammariba, autrement connus sous le nom de Somba du Togo et du Bénin, étaient des experts de l’élargissement et de l’allongement de la v!rilité et cela a été fait lors de l’initiation.

Occupant les régions montagneuses des deux pays d’Afrique de l’Ouest, les Batammariba étaient non seulement appréciés pour leur ancienne technique d’élongation mais aussi pour leur expertise architecturale.

Au Togo, ils résident dans les régions nord-est de Kara au nord du Togo avec le peuple Kabye (kabre), qui est la deuxième plus grande tribu du Togo.

Au Bénin, où ils sont connus sous le nom de Somba, ils peuvent être trouvés autour de la chaîne de montagnes Atakora du nord-ouest du Bénin partageant une frontière avec leurs proches Gur au Burkina Faso voisin qui ont également un grand intérêt pour l’architecture.

La procédure d’allongement et d’agrandissement du pén*s, qui a été principalement effectuée chez les Somba, faisait partie des processus pour initier les garçons à l’âge adulte. Une herbe traditionnelle est pilée et frotté sur le pén*s, puis une branche d’arbre ou un ivoire est coupé et un trou d’une taille particulière est fait pour l’initié.

L’initié y met son pénis pendant quelques mois jusqu’à ce qu’il atteigne une taille et une longueur particulières de son choix et peut maintenant le retirer, selon les récits historiques.

Avec une population estimée à plus de 176 000 habitants, les Batammariba ont migré vers leur emplacement actuel depuis le nord et le nord-ouest du Burkina Faso où ils vivaient avec le peuple Mossi entre les 16e et 18e siècles, selon des recherches historiques.

Agro-pasteurs de tradition, la richesse d’une famille à Batammariba est déterminée en fonction de la taille de son bétail, qui, au cours des dernières années, a également servi des objectifs socioculturels clés.

En effet, un grand pourcentage d’animaux participent aux funérailles de Batammariba qui sont souvent associées à des rituels tels que la danse des tambours (Tibenti) pour honorer les anciens décédés et la cérémonie de «retournement» effectuée au salon funéraire.

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