Selon S.A, l’employeur d’Y. A. D, le mis en cause a été l’un de ses anciens travailleurs qu’il avait perdu de vue. C’est donc un jour lors de ses courses que Y. A. D dans un état de détresse, s’approcha de lui en évoquant le souvenir de leur collaboration passée. Prie de pitié pour lui, S. A va alors décider de renouveler les relations professionnelles avec lui. Il lui confie dans un premier temps la responsabilité des travaux sur ses chantiers de construction. Des tâches qu'il exécute avec honnêteté. Peu à peu la confiance s’installe. S.A va jusqu’à ouvrir les portes de sa maison à son employé. Mieux, il lui confie de nouvelles responsabilités. Notamment, être chargé de l’encaissement, d’une de ses constructions, transformée en boulangerie et louée chaque fin de mois à 2 000 000 de franc cfa par le locataire.
Y. A .D, va d’abord récupérer la moitié de la somme c'est-à-dire 1 .000 .000 fcfa qui part remettre directement à son employeur. Mais quand arrive le paiement de la seconde partie que le locataire a d’ailleurs notifié au patron, le quadragénaire ne réagit pas.
L’employeur, qui ne le voit pas, décide de l'appeler. Au bout du fil, Y. A. D le rassure qu’il est en chemin. Après des jours passés sans réponse, S. A part porter plainte contre lui.
À la barre, l’employé reconnaît les faits. Mais il déclare avoir utilisé l’argent à des fins personnelles. Le Tribunal l’a donc condamné pour abus de confiance. Quant à son employeur, il a finalement renoncé au remboursement des 1 000.000 Fcfa.
Y. A .D, va d’abord récupérer la moitié de la somme c'est-à-dire 1 .000 .000 fcfa qui part remettre directement à son employeur. Mais quand arrive le paiement de la seconde partie que le locataire a d’ailleurs notifié au patron, le quadragénaire ne réagit pas.
L’employeur, qui ne le voit pas, décide de l'appeler. Au bout du fil, Y. A. D le rassure qu’il est en chemin. Après des jours passés sans réponse, S. A part porter plainte contre lui.
À la barre, l’employé reconnaît les faits. Mais il déclare avoir utilisé l’argent à des fins personnelles. Le Tribunal l’a donc condamné pour abus de confiance. Quant à son employeur, il a finalement renoncé au remboursement des 1 000.000 Fcfa.
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